Il dit qu'il aime Dieu. Il dit que ce qu'il aime en Dieu ce sont les perceptions que son coeur ressent mais qui ne se trouvent pas dans la nature. Il a demandé à toutes les choses de la nature où se trouvait Dieu. Toutes ont répondu que ce n'était pas elles mais celui qui les avait créés. Il explique que l'homme à une partie intérieure visible et une autre invisible. C'est celle invisible à qui s'adresse le ciel, la terre... et c'est elle qui juge. Contrairement aux animaux, l'homme est doué de raison et peut juger (...)
[...] Il raconte à Dieu, que selon sa volonté, il a obéit en ne se mariant pas et en faisant vœu de chasteté. Cependant, si en éveil il obéit, dans ses songes, il repense à son passé et y prend du plaisir, y consent et agit. Il ne sait pas pourquoi cela lui arrive. Il voudrait résister à cette tentation et il demande à Dieu de lui enlever ces mouvements d'impudicité qu'il souffre durant son sommeil Il veut obtenir la grâce de Dieu afin que ses sens soient en paix avec Dieu et ainsi vaincre la mort. [...]
[...] Chapitre XXXVI : De la troisième tentation, qui est l'orgueil. Comment on peut désirer légitimement d'être craint et aimé des hommes. Il voudrait savoir si son orgueil a complètement été effacé par Dieu ou non. Chapitre XXXVII : Il déclare quelle était la disposition de son âme touchant le blâme et la louange. Il dit que Dieu a permis aux hommes de savoir ce qui est bien ou pas. Il se réjouit quand on lui fait des louanges mais ne sait pas si c'est bien ou pas. [...]
[...] Il dit qu'il aime Dieu. Il dit que ce qu'il aime en Dieu ce sont les perceptions que son cœur ressent mais qui ne se trouvent pas dans la nature. Il a demandé à toutes les choses de la nature où se trouvait Dieu. Toutes ont répondu que ce n'était pas elles mais celui qui les avait créés. Il explique que l'homme à une partie intérieure visible et une autre invisible. C'est celle invisible à qui s'adresse le ciel, la terre et c'est elle qui juge. [...]
[...] Mais lorsque la chose à représenter n'a pas d'image, comme les nombres où la mémoire, c'est la présence même de la chose qui intervient. Chapitre XVI : La mémoire se souvient même de l'oubli. Il explique que la mémoire se souvient de l'oubli, mais qu'il ne sait pas si c'est par sa présence ou son image. Chapitre XVII : Que la mémoire est une chose admirable. Mais qu'il faut encore chercher Dieu au-dessus d'elle. Il veut chercher Dieu et sait que pour cela, il doit chercher au- dessus de sa mémoire. [...]
[...] Il explique que quand nous avons perdu quelque chose, nous ne l'avons pas entièrement oublié. Sinon, nous ne pourrions pas dire en le voyant que c'est cela que nous avions perdu. Chapitre XX : Que chercher Dieu, c'est chercher la vie bienheureuse, et que tous les hommes la désirant, il faut qu'ils en aient quelque connaissance. Pour lui, tous les hommes désirent être heureux, mais il faut pour cela qu'ils aient la connaissance du bonheur. Mais comment peuvent-ils l'avoir ? Chapitre XXI : De quelle sorte la vie bienheureuse peut être dans la mémoire. [...]
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