Les Confessions, livre I à IV, Rousseau, Mme de Warens, jugement dernier
Jean-Jacques naît en 1712 à Genève de Issac Rousseau et Suzanne Bernard. Il est de santé fragile et survit grâce à l'aide de sa tante Suzanne Rousseau.
Il découvre les joies de la lecture à l'âge de 5 ou 6 ans en compagnie de son père. Ses lectures développent sa sensibilité. En 1719, il a lu tous les romans de la bibliothèque de sa mère ; il se tourne vers celle de son père et se plonge dans des ouvrages historiques et moraux. S'identifiant aux héros de l'Antiquité, il se forge un « esprit libre et républicain ».
Si son père est très proche de Jean-Jacques, il néglige son fils aîné. Ce frère s'enfuit un jour du domicile familial, et ne donnera plus jamais de nouvelles, Jean-Jacques demeure fils unique. Il est tendrement aimé de son entourage, mais cette affection ne le corrompt pas : il est « traité en enfant chéri, jamais en enfant gâté ». Il apprend la vertu en ayant sous les yeux « les meilleures gens du monde ». Auprès de sa tante Suzanne, il acquiert le goût de la musique.
[...] Il est de santé fragile et survit grâce à l'aide de sa tante Suzanne Rousseau. Il découvre les joies de la lecture à l'âge de 5 ou 6 ans en compagnie de son père. Ses lectures développent sa sensibilité. En 1719, il a lu tous les romans de la bibliothèque de sa mère ; il se tourne vers celle de son père et se plonge dans des ouvrages historiques et moraux. S'identifiant aux héros de l'Antiquité, il se forge un esprit libre et républicain Si son père est très proche de Jean-Jacques, il néglige son fils aîné. [...]
[...] On les confronte. Il la charge effrontément C'est JJ que l'on croit. Au moment où il écrit, le narrateur est encore tourmenté par le remord d'avoir fait accuser une innocente. Livre III (1728-1730) Dernières aventures à Turin (décembre 1728-juin 1729) Pendant 5 ou 6 semaines, JJ reste désoeuvré. Il éprouve des désirs sexuels qu'il ne peut assouvir et qu'il attise par les plus extravagantes manœuvres C'est ainsi qu'il se livre à l'exhibitionnisme. Il jour il est pris sur le fait. [...]
[...] Paris a toujours été pour Rousseau un symbole de corruption, bien qu'il y voie une certaine pureté de goût et une certaine correction de style qu'on n'atteint jamais en province (lettre à Vernes 1757) La mise en scène du jugement dernier dans le préambule : Cette adresse à Dieu, par cette vision du jour du Jugement Dernier, renvoie au sens religieux du mot confession. Mais ce n'est pas ici pour obtenir le pardon de Dieu que Rousseau s'adresse à lui, c'est pour que ses "semblables" "soient rassemblés et écoutent le livre de sa vie. Cette transposition des lecteurs au jour du jugement dernier n'est pas gratuite. [...]
[...] Il lui adresse la parole en italien, l'homme prétend qu'il est venu quêter en Europe des fonds pour une sainte œuvre, JJ accepte de lui servir d'interprète. Ils se rendent à Berne, puis à Soleure. Là, l'ambassadeur démasque le faux ecclésiastique et le sépare de JJ. Le secrétaire de l'ambassade de France lui propose un emploi de sous- secrétaire qu'il refuse. Il se rend à Paris pour se mettre au service du neveu d'un colonel suisse (M. Godard) installé en France. Voyage en France. [...]
[...] Merceret, la femme de chambre de Mme de Warens, était restée à Annecy en l'absence de sa maîtresse. Elle veut à présent rentrer chez elle à Fribourg, mais hésite à faire la route seule. Comme elle éprouve du goût à l'égard de JJ elle lui demande de l'accompagner. Voyage en Suisse Au cours du chemin, JJ résiste aux avances de Merceret, qui sont d'ailleurs de moins en moins pressantes. En passant à Genève, il ne va voir personne mais est ému par le spectacle de la ville. [...]
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