En 1970, elle a fait ses débuts à l'Express comme journaliste médicale et sociale. Après, elle a appartenu à la rédaction économique et politique de l'hebdomadaire Le Point.
En 1982, elle reçut le prix Albert-Londres pour le récit d'un tour de France et elle écrit des chroniques pour le Figaro Magazine et Le Figaro (...)
[...] AVIS PERSONNEL : En tant que journaliste, Christine n'a fait que de retranscrire ce qu'elle a vu et entendu mais dans quel but ? Etant donné que ce récit est basé sur des faits réels, j'ai été très sensibilisée sur la déshumanisation de la pratique hospitalière et l'attitude des médecins face à la douleur et de l'absence de relation entre médecins ou soignants et patients. Les abus de certains praticiens qui préfèrent être silencieux sur les erreurs médicales, ne font qu'altérer cette relation avec les patients qui veulent plus de précisions sur leur cas. [...]
[...] Elle est émue et heureuse de sa première sortie en famille pour les 2 ans de son petit fils Paul. Son amie, Marie qui l'a opérée, la confie à un kinésithérapeute Jacques avec lequel elle aura des séances journalières d'une heure. Elle décide d'écrire l'histoire de Mr Marsac, victime d'une erreur médicale dans une chronique sous titrée le secret médical dévoyé[6]. Un exemple d'un chirurgien qui admet son erreur tout en incriminant l'incompétence de ses infirmières et qui fait de la rétention d'informations. Le Dr Malus la critique de moralisatrice sans morale[7]. [...]
[...] Elle constate qu'en province l'hôpital est plus humain que dans les grandes villes. Certains témoignages sont choquants mais il n'est pas question pour elle de faire un démenti de ses chroniques, c'est contraire à sa déontologie. Elle affirme sa position de journaliste indépendante. Elle a besoin d'intimité avec ses amis, d'une vie affective, du temps pour son travail donc de communiquer, de s'informer et de maintenir cette autonomie de relation. Ses douleurs se réveillent en permanence et elle angoisse du fait que les médecins ne savent toujours pas évaluer la douleur, qu'ils se préoccupent principalement de savoir que ses nerfs sont coincés ou écrasés entre les os du bassin et qu'elle risque une hépatite en abusant de médicaments. [...]
[...] Ils se préoccupent plus de la maladie que du malade et donc ils ignorent la douleur. Donc lutter contre la douleur, permet le respect de la dignité et de prendre en compte le malade qui ne doit plus souffrir pour guérir et de prendre en considération la douleur comme manifestation d'un symptôme. De nos jours, avec les progrès de la médecine, c''est inacceptable et inhumain de laisser souffrir quelqu'un. Comment et pourquoi en est-on arriver là ? Quelles solutions apporter ? [...]
[...] Elle a eu beaucoup de courage et d'audace d'écrire ce récit car elle y fait ressortir des sujets sensibles qui peuvent lui faire courir des risques. P 20 Parfois, s'interposent des visages inconnus, des blouses blanches P71 Je finis par me demander si je bénéficie d'un traitement de faveur P 83 La bête, c'est l'hôpital dans son ensemble P 84 A ce stade, je suis à peu près convaincue que si vous hospitalisiez un être bien portant, il en sortirait malade au bout de 10 jours Dérivé de la morphine P 213 Elle paraîtra le 19 juin sous le titre de Le secret médical dévoyé P 213 Son auteur m'y qualifie de moralisatrice sans morale P 235 Un antidépresseur Site internet : //www.sante-sports.gouv.fr/dossiers/sante/projet-loi- hopital-patients-sante-territoires/projet- loi-hopital- patients-sante-territoires.html (consulté le 24/10/09). [...]
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