(Chap.1) Logicielle, de son véritable prénom Laure-Giselle, est lieutenant de police à Epinay-sur-Seine.
Elle correspond par mail avec son ami et ancien supérieur hiérarchique, Germain, âgé de 50 ans. Il est inspecteur de police à Bergerac en Dordogne.
Un médecin de Bergerac vient de signaler des morts suspectes par arrêt cardiaque de personnes qui travaillaient sur leur ordinateur.
(Chap.2) Delumeau est le commissaire dont dépend Logicielle, Max ou Maxime un collègue un peu collant (p.14).
Trois hommes, qui pourtant étaient en bonne santé, sont morts devant leur ordinateur, deux autres étaient déjà décédés de la même façon un peu plus tôt.
(Chap.3) Logicielle se rend en Dordogne.
Toutes les victimes travaillaient sur un ordinateur de type Omnia 3, machine très perfectionnée dont les habituels circuits imprimés sont remplacés par des réseaux de neurones qui obéissent au doigt et à l'oeil.
Les victimes avaient toutes avalé des amphétamines (p.19).
(Chap.4) Logicielle et Germain vont à Eymet chez Mme Bron, mère d'une des victimes (p.22), Antoine était représentant en vins.
(Chap.5) Logicielle met en marche l'ordinateur ; il contient un disque HDX d'une puissance exceptionnelle (p.35). Pourtant, Antoine était loin d'être féru d'informatique.
(Chap.6) Ils se rendent ensuite chez Dominique Lavigne, un brocanteur (p.32). Là, ils constatent que le HDX a été vidé de sa mémoire (p.34).
Chez Sauzon, c'est le même cas.
(Chap.7) Toutes les victimes avaient une cinquantaine d'années, deux d'entre elles travaillaient avec le logiciel LTPG.
Toutes sont mortes la nuit.
(Chap. 8) Max envoie un message urgent à Logicielle : nouvelle victime, mais cette fois, à Saint-Ouen près de Paris (p.53).
S'étant rendue sur place, Logicielle constate que c'est le même milieu social aisé que chez les autres victimes. C'est le jeune fils qui avait installé l'ordinateur. La famille originaire du sud-ouest était venue s'installer à Paris pour raison professionnelle.
(Chap.9) M. Boulazac, lui, était antiquaire. Cinq des six victimes travaillaient dans l'univers du meuble.
Aucune n'était vraiment sympathique.
Dans l'agenda de Boulazac, Logicielle trouve les adresses des autres victimes (p.66) (...)
[...] Toutes sont mortes la nuit. (Chap. Max envoie un message urgent à Logicielle : nouvelle victime, mais cette fois, à Saint-Ouen près de Paris (p.53). S'étant rendue sur place, Logicielle constate que c'est le même milieu social aisé que chez les autres victimes. C'est le jeune fils qui avait installé l'ordinateur. La famille originaire du sud-ouest était venue s'installer à Paris pour raison professionnelle. (Chap.9) M. Boulazac, lui, était antiquaire. Cinq des six victimes travaillaient dans l'univers du meuble. Aucune n'était vraiment sympathique. [...]
[...] La presse s'empare de l'affaire et titre : "L'ordinatueur ! L'Omnia 3 a encore frappé. (Chap.11) Pour la firme qui le fabrique, c'est une très mauvaise publicité. Le PDG en personne se déplace chez Logicielle. Il se nomme Kostovitch, dit Kosto, malgré sa petite taille. Ils tombent d'accord sur le fait que ce n'est pas l'ordinateur qui est en cause mais le logiciel HDX qui chaque fois a été vidé de son contenu après la mort de son utilisateur. Pour qu'elle puisse progresser dans son enquête, Kosto confie un Omnia 3 à Logicielle. [...]
[...] Max vient chez elle voir le programme. Elle téléphone à Germain car elle pense que le château se situe en Dordogne (p.139). A la moindre déconcentration, le programme se ferme (p.143), voilà pourquoi les victimes utilisaient des amphétamines. La tension, les émotions fortes et les amphétamines ont pu les tuer. Germain identifie le château, situé près de Monbazillac, un château qui a presque entièrement été pillé. (Chap.18) Après le départ de Max, Logicielle se remet à l'ordinateur "juste un quart d'heure". [...]
[...] On découvre que ce jeune est le fils de Mme Boulazac née Vidal, mais qu'il est mort de maladie quelques mois plus tôt (p.184). Pendant ce temps, Max s'est installé chez Logicielle. Il a trouvé comment pénétrer dans le château par le puits (p.189). Achille n'était pas le fils de M. Boulazac et ne s'entendait pas du tout avec son beau-père (p.191). Son père était M. de Chiron, propriétaire du château. (Chap.23) Logicielle sait que Max est chez elle en danger devant l'Omnia 3. [...]
[...] (Chap.13) Elle commence à avoir peur, elle court des risques à vouloir utiliser ce programme (p.104). Elle se connecte mais constate vite qu'il n'y a plus d'abonné à l'adresse indiquée. Elle est découragée mais un internaute lui a laissé un message, elle le rejoint sur un forum ; il lui envoie le programme qu'elle télécharge mais il lui a précisé que lui-même ne parvenait pas à l'utiliser car il semble présenter un défaut. (Chap.14) Logicielle tremble d'ouvrir ce programme, mais s'aperçoit rapidement qu'effectivement il est inutilisable, tout est flou. [...]
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