René est en Amérique avec son père adoptif Chactas et le Père Souël. Il est marié à une femme avec laquelle il ne vit pas. Une lettre reçue d'Europe le plonge dans une infinie tristesse et l'amène à se confier à ces deux hommes. Sa mère est morte à sa naissance et son père a abandonné son éducation à d'autres. Il éprouve une grande tendresse pour sa soeur Amélie. A la mort de son père il est tenté de se réfugier dans un monastère mais il décide finalement de voyager (...)
[...] Création du système métrique. Nouveau calendrier républicain. Mise en place d'un livre de la dette publique fixant les dépenses de l'Etat. Début du code civil. Invention du thermomètre par Réaumur Création du Jardin des plantes et de l'histoire naturelle par Buffon Découverte par Lavoisier de la composition de l'air et de l'eau et fondation de la chimie. Invention de la machine à vapeur par Denis Papin et Watt Invention du paratonnerre par Franklin. Construction des premiers ballons par les Frères Mongolfier et première ascension par Pilâtre de Rozier René de Chateaubriand 2.1 Sa vie Né à Saint-Malo le 4 septembre 1768, dans une famille aristocratique ruinée, il est élevé pendant trois ans par une nourrice. [...]
[...] Chateaubriand a écrit des essais, des romans et des mémoires parmi lesquels on peut citer : Essai sur les révolutions (1797) Atala (1801) René (1802) Le génie du christianisme (1802) Les martyrs (1804) Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811) De Bonaparte et des Bourbons (1814) Les Natchez (1826) Vie de Rancé (1844) Mémoires d'outre-tombe (1848) 2.3 Son style Les œuvres de Chateaubriand mêlent roman, autobiographie et lyrisme poétique. Les phrases sont rythmées, cadencées comme s'il écrivait un poème. Le style de Chateaubriand est reconnu comme l'un des plus beaux exemples de prose poétique. Il rend ainsi mieux la vision poétique et tragique du monde, la hantise du temps perdu et le désir d'éternité. L'auteur insiste toujours beaucoup sur les aspects techniques de son travail. Il observe minutieusement et sait décrire ce qu'il observe. [...]
[...] Elle tenait de la femme la timidité et l'amour, et de l'ange la pureté et la mélodie Elle voudrait apaiser les souffrances de son frère. Elle lui conseille : Il vaut mieux mon cher René, ressembler un peu plus au commun des hommes et avoir un peu moins de malheur. Elle est pour son frère comme une mère c'était presque une mère mais aussi comme une femme aimée c'était quelque chose de plus tendre Elle l'encourage à se marier, lui faisant un aveu d'amour caché : Ah ! avec quelles délices ne te presserait-elle pas dans ses bras et sur son cœur ! [...]
[...] On préfère alors des sujets familiers et aimables plutôt que la représentation de grandes batailles. Watteau, Fragonard, Boucher, Greuze, Chardin, Goya, peignent des natures mortes, des baigneuses, des scènes galantes, des portraits, des intérieurs bourgeois David reste inspiré par des événements politiques et par ses sentiments révolutionnaires Le contexte littéraire Avant la révolution de 1789, en France, la littérature était classique, s'appuyant sur l'ordre, la raison, l'équilibre et sur l'autorité du roi. Les auteurs respectaient les règles héritées des Grecs et des Romains. Le rationalisme des Lumières faisait triompher la raison et l'esprit critique. [...]
[...] Finalement il s'engage comme sous- lieutenant au régiment de Navarre. La Révolution de 1789 le contraint à quitter le pays et il voyage alors plusieurs mois en Amérique où il découvre les indiens. Apprenant l'arrestation du roi, en 1792, il rentre en France et il épouse Céleste Buisson. Il émigre ensuite en Allemagne puis en Angleterre où il se réfugie à Londres. Il revient en France en 1800 et Bonaparte le nomme Secrétaire d'Ambassade à Rome puis Ministre dans le Valais. [...]
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