Marc Dugain est un écrivain français né au Sénégal en 1957 parce que ses parents travaillaient là-bas. A 7 ans, il est venu habiter en France avec sa famille. Pendant son enfance, il a vécu dans le château des « Gueules cassées » à Moussy-le Vieux avec son grand père. Il a étudié à l'institut d'études politiques de Grenoble. Il est ensuite devenu PDG de Proteus Airlines.
[...] Eté 1918, Marguerite retourne dans sa famille, qui fait partie de la bourgeoisie. Cependant elle dérange, ses parents organisent une fête et elle est obligée de se cacher dans sa chambre. Ses parents et ses frères n'ont même pas remarqué qu'elle était sourde. Elle décide de quitter pour toujours sa famille. Elle trouve du travail comme infirmière dans un hôpital pour enfants malades novembre 1918, l'armistice est signé. Chapitre 8 : 4 avril 1919, Adrien quitte l'hôpital. Pennanster et Weil sortent de l'hôpital quelques semaines plus tard. [...]
[...] Chapitre 7 : A côté de la chambre des officiers, il y une femme nommée Marguerite. C'était une infirmière, elle a été défigurée et elle est devenue sourde. Seul Penanster peut parler avec elle car elle peut lire sur ses lèvres. Adrien Et Weil ont la bouche défigurée. Elle n'a rien dit à sa famille qu'elle refuse de voir. Louis Levauchelle est un nouveau blessé qui vient d'arriver dans la chambre des officiers. Il fait maintenant le à la belote. [...]
[...] Penanster depuis la fin de la guerre avait des vertiges, des absences et des pertes de mémoire. Pendant la deuxième guerre mondiale, il abritera chez lui, Adien et Weil avec leurs familles. En 1946, il était parti en repérage avec un groupe de résistants. Il meurt en tombant dans un précipice. Pierre Weil : C'est un pilote qui a été brûlé. Il est croyant et de religion juive. Il a les bronches et les cordes vocales brûlées. Il a le crâne en partie arraché et il n'a plus de nez. [...]
[...] Ils vivent dans le présent et évitent de penser au futur mais il se souvient des bons moments avec son grand-père pour cueillir des cèpes. Adrien est triste car il s'est qu'il ne pourra plus avoir le goût ni l'odeur des cèpes. Adrien écrit une fois par semaine à sa famille mais il ne dit rien de ses blessures. l'hiver 1916 fut un hiver de trop car Bonnard a été envoyé au front et il est mort. Adrien est très triste car il n'a rien pu faire pour son ami. [...]
[...] Thèmes La souffrance physique et psychologique : avec sa blessure, la vie d'Adrien a été bouleversée. Les blessures, les opérations successives, la difficulté à affronter le regard des autres entraînent une grande souffrance physique et psychologique chez Adrien. Il a d'ailleurs envie de se suicider. Les blessés ont leur sens abîmés : le gout et l'odorat pour Adrien (il n'arrive à sentir que l'odeur d'éther), l'ouie pour Marguerite, la vue pour (œil crevé) pour Pennanster. les gueules cassées sont des soldats ayant été défigurés pendant la première guerre mondiale. [...]
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