Carnet de lecture contenant une courte biographie de certains auteurs (Beaumarchais, Marivaux...) et un résumé acte par acte, ou partie par partie des œuvres du programme de la nouvelle réforme de français, très illustré. Contient aussi des citations clés. Idéal pour réviser en lisant.
[...] Cette lettre risque de déshonorer la reine. En effet, le vidame de Chartres est l'amant platonique de la reine, et il lui avait affirmé qu'il lui était parfaitement fidèle, alors qu'il entretenait toujours une relation avec Madame de Thémines dont cette lettre est la preuve. Le duc de Nemours refuse, dans un début, d'aider son ami de peur que Mme de Clève croit qu'il était le destinataire de la lettre. Le Vidame de Chartres donne un mot à ce dernier pour qu'il puisse prouver à 24 sa maîtresse (dont il ne connaît pas l'identité) qu'il ment pour protéger le vrai destinataire, qui n'est d'autre que l'oncle de la jeune femme. [...]
[...] L'inversion des rôles est une très bonne façon de se mettre à la place de l'autre puisqu'il s'agit justement de faire ça. D'autre part, l'impact sur le spectateur de l'époque a dû être important car les spectateurs étaient les nobles et ici, Marivaux écrire une importante satire sur eux. Elle met aussi en avant le pouvoir de la vertue, notion très importante dans n'importe quelle société. Les Bonnes De Jean Genet Dès le début de l'œuvre, on observe du théâtre dans le théâtre. [...]
[...] Elle se lamente des mésaventures que subit son mari en prison et décrit à Solange ce qu'elle ferait par amour pour lui. La maîtresse, dans un élan de bonté provoqué par le choc émotionnel de l'incarcération de son mari, commence à donner des robes et vêtements à ses bonnes. Lorsqu'elle se rend compte que le téléphone est décroché, Solange lui apprend que Monsieur est en liberté conditionnelle. Madame s'énerve puis presse ses servantes pour qu'elle puisse retrouver son mari au plus vite. Malgré l'insistance de Claire, Madame ne boit pas la tisane. [...]
[...] - Le Comte, Acte II scène 17 ” Marceline arrive pour réclamer son dû, c'est à dire qu'elle veut que Figaro l'épouse elle et non Suzanne. Le Comte en profite car il voit là un moyen d'écarter Figaro de Suzanne et annonce qu'il y aura donc un procès pour régler le différend “ Voilà ma vengeance arrivée. - Le Comte, à part, Acte II scène 22 ” Conclusion : Cet acte est plein de rebondissements qui donnent du rythme à la pièce. Le spectateur ne sait pas quelle péripétie peut encore arriver aux personnages. [...]
[...] Elle fait la connaissance de la Marquise de Sévigné avec qui elle noue des liens amicaux très forts jusqu'à la fin de sa vie. Elle est introduite dans les salons littéraires en vogue à Paris, chez Catherine de 21 Rambouillet ou encore la Marquise du Plessis-Bellière. Elle crée ensuite son propre salon littéraire, où elle accueille les grandes figures de l'époque, comme Racine et Boileau. Madame de La Fayette rencontre le Duc La Rochefoucauld en 1655 et en devient très proche. Elle fait partie du mouvement des Précieuses, qui ont la particularité d'être assidûment courtisées sans que leurs admirateurs ne soient jamais satisfaits. [...]
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