Carmen, Mérimée, rencontre entre Carmen et don José, coup de foudre, femme diabolique
P.merimée est un nouvelliste passionné d'histoire et d'archéologie, grand voyageur qui situe ses nouvelles essentiellement dans les pays méditerranéens (Colombie, Corse). Il écrit Carmen, cette nouvelle sera publiée en 1847, l'histoire d'une passion entre une gitane et un jeune aspirant. Le chapitre trois correspond au récit enchâssé de Don José qui va essayer de protéger le narrateur, amoureux de la même femme. L'extrait est le récit de la première rencontre entre Don José et l'héroïne éponyme.
[...] Il confesse avoir peur des andalouses. En effet elle se moque de lui: "monsieur fait de la dentelle" Elle l'insulte puisqu'elle sous entend que c'est une femmelette Antiphrases ironique : "mon cœur, épingle de mon âme" Il la découvre à travers une exclamation péjorative:"la gitanilla" Vendredi est un jour maudit: "mort du christ"---> la venus d'isle Tenue vestimentaire provocante: couleur chaude rouge, couleur de > diabolique impudeur inhabituel pour lui:"cette Carmen" péjoratif "Peur d'un trou" tenue négligé comme les bohémiennes "Pouliche" animalisation dévalorisante "Se signer" apparentée au diable Elle se comporte comme une fille de rue la fleur à la bouche/se balançant sur les hanches/ compliment gaillard sur sa tournure"---> séduction charnel "Yeux en coulisse" "Effronté comme une vrai bohémienne qu'elle était" image d'épinal de la gitane facile a corrompre Protase--> longue énumération d'attitude provocante Apodose: descente---> "qu'elle était" effet couperet La conclusion semble mal engagé mais on se rend compte que la réticence masque la fascination 2. [...]
[...] Mythe du montré caché Trous: on voit sa peau à travers les trous de ses bas (bas résille) -le soulier est beaucoup décrit érotique Soulier mignon Maroquin rouge peau --->maroquin: peau (sensuel) Rouge: couleur de la passion Ruban: chausson de danse (flamenco) danse sensuelles Il la détaillé de bas en haut : épaule La fleur au dents: attitude très provocante Balancement des hanches: femme de mauvaise vie Il y est sensible. "D'abord elle ne me plut pas attraction/répulsion : ça n'a pas duré Chiasme qui montre que le jeu de la séduction s'est enclenché. Animalisation : comparaison à un chat: sensuel Symbolique de l'objet: Épinglette. danger: piquant Coffre fort. [...]
[...] L'anticipation d'un coup de foudre Approche de Carmen Fascination de don José 1. Les réticence. Une femme diabolique Don José se démarque des espagnols traditionnels. Lui se sent basques. Fierté nationale: "jouer aux cartes, dorment" "Franc" "Tachais, occuper--> contraire de l'oisiveté Les espagnols sont présenté comme enfantin, surexités par la présence des femmes: discours indirect de libre la cloche qui sonne Fantasme masculin: "les homme n'entre pas sans permissions" "Elle se mettent à l'aise" le flirt est évoqué par l'expression imagé et narativisé (roulé des cigare est sensuel) "En compte de toute les couleurs" Métaphore grossière: "cette pêche-la; se laisser prendre le poisson" Sorte de jeu : "bien des jeune gens, peu de ces demoiselle" Parallélisme: il se désolidarise depuis le début: "les autres/ moi" "Mon banc/près de la porte": il se marginalise par son attitude Les héros montre leur nostalgie d'un genre de femme plus sage et plus prude: "jupe bleu": couleur de la vierge Marie. [...]
[...] La rencontre entre Carmen et don José P.merimée est un nouvelliste passionnées histoire et d'archéologie, grand voyageur qui situe ses nouvelle essentiellement dans les pays méditerranéens (colomba,Corse). Il écrit Carmencette nouvelle sera publié en 1847, l'histoire d'une passion entre une gitane et un jeune aspirant. Le chapitre trois correspond au récit enchâsse de Don José qui va essayer de protéger le narrateur, amoureux de la même femme. L'extrait est le récit de la première rencontre entre don José et l'héroïne éponyme. LECTURE PROBLÉMATIQUE 1. Les réticence. [...]
[...] malle au trésor secret Le héros est troublé: "rougit": il ne sais que dire Langage amoureux: "mon cœur, mon âme" Dialogue au style direct montre qu'il a tout gardé en mémoire Il est frappé à mort: la balle flèche de cupidon Un coup de foudre: il demeure sans mouvement, sans parole "Planche": réification avec la planche : il est un objet de van elle. "Je la ramassais, précieusement": soins particulier Il se justifie: "je ne sais . " symbole romantique: il garde une trace de la femme aimé "Première sottise": prolepse. Phrase nominal exclamative. enclenche une fatalité Conclusion : le texte prend une dimension tragique puisqu'il s'agit d'une narration rétrospective: le lecteur pressent une issue fatale. Cette rencontre ambigüe laisse dominer une passion dévastatrice qui sera symbolisée dans l'opéra de bizet avec l'air du toréador : "un œil noir te regarde". [...]
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