Candide, Voltaire, entretien fictif avec Candide, voyage, Cunégonde, connaissances
Tout d'abord il y a Cunégonde, elle était l'incarnation de la beauté féminine, elle unissait savoureusement une vive sensualité, une inconstance permanente et une tranquille inconscience et mon amour pour elle était d'une grandeur inexplicable. Il y avait aussi Pangloss, un homme remarquable que j'admirais beaucoup selon sa théorie tout est au meilleur dans le meilleur des mondes, je croyais à toutes ses paroles, mais encore une fois ma naïveté m'a piégée, dans ce voyage je remarquais peu à peu que tout n'allait pas si bien dans ce monde. Martin dépourvu de traits psychologiques individualisés, il est bien moins haut en couleur que Pangloss, il était beaucoup plus pessimiste. Le fils du Baron qui relève de 3 mondes à la fois, la noblesse, l'ordre des jésuites et l'homosexualité.
[...] Je n'en croyais pas mes yeux c'était ma belle Cunégonde. Elle me raconta comment elle devint passionnée . C'est la que j'ai du tuer le juif qui la retenait prisonnière. Ainsi je m'échappa avec Cunégonde et la vieille femme. Par la suite j'ai du l'abandonnée a nouveau et partir au Paraguay accompagné d'un valet, Cacambo. Au début nous ne fumes pas très bien accueilli mais après tout ce voyage s'est bien passé, je retrouve la bas le fils du Baron qui finalement n'avait pas était tué, mais malheureusement je fus obligé de le tué car il savait que je voulais épouser sa sœur .Je suis parti a nouveau habillé en Jésuite avec Cacambo,nous nous égarâmes dans une étrange terre ou deux filles nues criaient tandis que deux singes les suivaient en leurs mordillant les fesses ,et en pensant bien faire je tua les deux singes mais cela me joua un mauvais tour car les Oreillons voulaient nous rôtir. [...]
[...] Une fois arrivé a Venise je ne retrouvai ni Cunégonde ni Cacambo.Ainsi commença la recherche de ma belle et de mon compagnon. Par la suite après avoir quelque mois je retrouvai enfin Pangloss et Cunégonde sur le chemin vers Constantinople. Quelle histoire passionnante. Et maintenant ou en êtes vous avec mademoiselle Cunégonde ? Je l'ay épousé malgré sa laideur, son frère a était renvoyé aux galères. Tout le monde vit dans la métairie mais le temps passe vite dans la métairie et l'ennuie arrive vite. [...]
[...] La vieille, un symbole de malheurs de la vie et de la destinée féminine, c'est une fille du pape qui finit servante, elle était désillusionnée et enlaidie, elle était privée d'une fesse et elle m'a pourtant était d'une grande aide quand j'étais dans le besoin. Puis enfin Cacambo, fils d'un métis, il a était Sacristain, matelot, moine, commerçant, soldats et laquais. Il m'a était très fidèle avec son esprit critique. Toutes ces connaissance ont du beaucoup vous apporte. Maintenant pouvez vous m'expliquer tout votre voyage ? Oui, ce voyage fut très long il dura un peu près 1 an et demie. J'ai était élevé en Westphalie dans le château de Monsieur de Baron de Thunder-ten- tronckh. [...]
[...] Votre prénom reflète la naïveté .Vous vous considérez comme naïf ? Je ne peux pas dire le contraire avant de commencer ce voyage j'étais très naïf mais ce long périple m'a permis d'apprendre beaucoup de choses, depuis j'ai bien changé. Dans quel but avez-vous fait ce voyage ? Dans le seul et unique but de retrouver ma belle Cunégonde. Vous avez du faire de nombreuses rencontres au long de ce voyage. Pouvez- vous nous parlez de celle qui vous ont le plus marqué ? Bien sur. [...]
[...] Ma naïveté me fit croire qu'ils ne me voulaient que du bien. Mais ils me causèrent malheur après malheur. Je me suis pris 4000coup de baguettes, de la nuque jusqu'au cul, mais j'ai réussi a m'échapper. Ensuite dans un voyage, voisin de celui des Bulgares, je rencontrai fort surpris mon ancien maitre de philosophie, le docteur Pangloss malheureusement il était devenu gueux, je l'avais même pas reconnu. Mais lui m'avait reconnu et il m'apprit que Cunégonde avait était violée et tuée par des Bulgares qui avait également cassé la tête a Mademoiselle la Baronne et que Madame la Baronne avait était découpé en morceaux et que le château avait totalement était détruit. [...]
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