Seconde partie
Il est interdit de correspondre ou de téléphoner avec quiconque à l'extérieur de la ville. Chacun compose avec la solitude, déplorant l'absence de parents, d'amis ou d'époux. Seul Cottard semble se réjouir de la situation.
Grand, quant à lui, se concentre sur l'écriture d'un livre dont il n'arrive pas à achever la première phrase sans cesse réécrite.
Le père Paneloux prononce un prêche profitant du fléau pour ranimer la foi des citoyens : la peste est un châtiment de Dieu. Les mécréants et les malveillants seront punis (...)
[...] La ville est en proie au pillage. Les habitants abdiquent, les résistants s'épuisent. Quatrième partie Castel a mis au point un vaccin qu'il teste sur le fils du juge Othon, en vain. Le jeune garçon meurt dans d'atroces souffrances sous le regard impuissant de Rieux et de Paneloux. Horrifié par ce dont il a été le témoin, Paneloux prononce un second prêche. Il y exprime son incompréhension, sa colère contre un monde, un Dieu qui laisse mourir des innocents. Peu après, le prêtre tombe malade. [...]
[...] Grand, quant à lui, se concentre sur l'écriture d'un livre dont il n'arrive pas à achever la première phrase sans cesse réécrite. Le père Paneloux prononce un prêche profitant du fléau pour ranimer la foi des citoyens : la peste est un châtiment de Dieu. Les mécréants et les malveillants seront punis. L'Eté s'installe. La peste redouble. Tarrou qui tient lui-même des chroniques de la peste propose son aide au docteur Rieux. Castel de son coté cherche un sérum. Pendant ce temps, Rambert cherche à quitter la ville par tous les moyens. [...]
[...] ALBERT CAMUS, LA PESTE Première partie Le 16 avril 1940, à Oran. Le Docteur Rieux découvre un rat mort dans les escaliers de son immeuble. Sans doute le fait de quelques pitres, suggère le concierge. Le Docteur Rieux accompagne son épouse. Souffrante, elle part en convalescence dans une autre ville. Cette journée passée à suivre Rieux est l'occasion de rencontrer les personnages principaux du roman : le juge Othon ; le journaliste parisien Rambert ; Tarrou un étranger ; l'employé municipal Grand ; le voisin Cottard et le père jésuite Paneloux. [...]
[...] Cinquième partie La peste recule. Le 25 janvier le préfet annonce la réouverture prochaine des portes de la ville. Néanmoins, Othon puis Tarrou succombent. Cottard, affecté par le recul de la maladie, est arrêté suite à une crise de démence. Le lendemain, Rieux apprend la mort de sa femme. Février. Les portes de la ville sont enfin rouvertes. Chacun retrouve sa liberté. Grand reprend son roman et Rieux décide de rédiger les chroniques de la peste afin que personne n'oublie cette tragédie. [...]
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