Paul Auster nait le 3 février 1947 à Newark dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il va être rapidement au contact des livres grâce à la bibliothèque de son oncle traducteur, Allen Mandelbaum. Il commence alors à écrire des poèmes dès l'âge de 12 ans.
En 1965 jusqu'en 1967, il commence des études de littérature française, italienne, et anglaise à l'université Columbia de New York. En 1966, il rencontre le poète Francis Ponge grâce au père d'une amie, Lydia Davis.
Il écrit ensuite de nombreux articles pertinents sur des écrivains comme Kafka, Hamsun mais aussi sur des livres et des films. Il poursuit ensuite avec la traduction d‘écrivains français tels que Dupin, Du Bouchet. Il rédige également des scénarios, qui marquèrent son attrait pour le cinéma, pour des films qui ne verront pas le jour mais que l'on retrouvera plus tard dans Le Livre des illusions.
[...] Fiche de lecture : Brooklyn Follies - Paul Auster I. Paul Auster, le plus français des auteurs américains L'enfance, le début de sa passion Paul Auster nait le 3 février 1947 à Newark dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il va être rapidement au contact des livres grâce à la bibliothèque de son oncle traducteur, Allen Mandelbaum. Il commence alors à écrire des poèmes dès l'âge de 12 ans. En 1965 jusqu'en 1967, il commence des études de littérature française, italienne, et anglaise à l'université Columbia de New York. [...]
[...] Or, les hommes sont sans cesse agités et l'agitation est source de malheur. La raison de ce malheur est la condition humaine : l'homme est mortel et misérable. Il prend alors conscience de son malheur lorsqu'il se retrouve face à lui- même, dans l'expérience de l'ennui. Ainsi pour y échapper, il s'agite Le bonheur, et le besoin d'accomplir ses désirs Si l'on doit donner un nom au lieu du bonheur ça serait le Paradis. Selon la Bible, le paradis terrestre a été créé par Dieu et c'est le lieu où devaient vivre Adam et Eve ainsi que leurs descendants. [...]
[...] Elle a eu le temps de dire 87 Hawthorne Street sans avoir eu celui de préciser la ville. Grâce au nom de David Minnor, un ancien enquêteur et ami de Nathan va trouver qu'il s'agit de Winston-Salem. Nathan prend alors un avion pour partir à la rencontre d'Aurora. Il ne voit d'abord que David Minnor qui ne semble pas antipathique, mais il cache quelque chose. Il prétend qu'Aurora est fatiguée et malade. Or, Nathan la voit en haut de l'escalier. Il va lui demander de descendre et la ramènera, avec son accord, à New York. [...]
[...] Ces qualificatifs ne peuvent probablement venir que si l'on a lu d'autres romans de cet auteur. En effet, Brooklyn Follies étant le seul roman de Paul Auster que j'ai pu lire, je l'ai trouvé d'une extrême richesse. Il a réussi à me tenir en haleine à chaque chapitre avec l'envie de lire le suivant pour voir ce qu'il va se passer. Cela s'explique par la multitude de profils qu'il présente : de l'homosexuel ex-prisonnier, au brillant étudiant devenu simple vendeur en librairie, en passant par une enfant abandonnée et une schizophrène, etc. [...]
[...] En 1979, son père meurt, évènement déclencheur de l'écriture de L'Invention de la solitude et il divorce. Personne ne publie les écrits d'Auster. Maeght, éditeur, publiera son premier recueil de poèmes Unearth Un virage vers le succès En 1981, la vie de Paul Auster prend de nouveau un tournant : il rencontre sa nouvelle femme Siri Hustvedt et son œuvre L'Invention de la solitude est enfin publiée aux Etats-Unis après avoir été refusée de nombreuses fois. En 1985, il connait un grand succès grâce au premier volet de la Trilogie new-yorkaise : La Cité de verre. [...]
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