André Breton, "Nadja" - publié le 03/03/2010

Résumé du document

Nadja, le roman d'André Breton, peut être qualifié de roman autobiographique. En effet, Breton dit vouloir raconter exactement tout ce qui s'est passé lors de sa liaison avec Nadja.

Le roman débute avant l'arrivée de Nadja dans sa vie alors que Breton est en quête de son identité, et la partie autobiographique se termine après l'internement de la jeune femme (...)

Extraits

[...] Ce roman peut donc être qualifié de roman surréaliste. Ce roman est également un essai. En effet, le prologue est en essai sur le surréalisme. Le roman d'André Breton, Nadja, peut être étudié sous différentes approches. En effet, ce roman est à la fois une autobiographie, une biographie, une histoire d'amour, un roman surréaliste, et un essai Comment sont évoquées les expériences des surréalistes dans le récit ? Le roman de Breton, Nadja, est un roman surréaliste. Dans ce livre, certaines expériences des surréalistes sont évoquées. [...]

[...] Nadja, André Breton Analyse globale 1. Présentez les différents aspects, facettes ou approches possibles du roman Nadja de Breton. Nadja, le roman d'André Breton, se situe entre plusieurs genres littéraires. On peut donc avoir différentes approches possibles de ce roman. Nous étudierons comment ce roman peut être à la fois une autobiographie, un roman d'amour et un roman surréaliste. Nadja, le roman d'André Breton, peut être qualifié de roman autobiographique. En effet, Breton dit vouloir raconter exactement tout ce qui s'est passé lors de sa liaison avec Nadja. [...]

[...] C'est de cela que Breton est tombé amoureux. Le véritable nom de Nadja est Leona Delcourt. Le fait que la jeune femme n'ait pas donné son véritable nom à Breton peut aussi montrer qu'elle n'était pas réellement amoureuse de lui. Nadja est aussi un roman surréaliste. Tout d'abord par le personnage de Nadja est très étrange, il n'est pas décrit. En effet, Breton ne donne pas beaucoup de détails sur le physique de Nadja. Le roman regroupe de nombreux thèmes récurrents et chers à tous les surréalistes comme la ville où l'amour. [...]

[...] Dans ce roman, Breton parle du sommeil hypnotique. L'un des écrivains surréalistes est sous hypnose. Dans son sommeil il dit tout ce qui lui vient à l'esprit. À côté de lui, quelqu'un écrit ses paroles. C'est l'étape permet de voir ce qui se passe dans la tête de la personne sous hypnose. Ces textes sont très difficiles à expliquer car il n'y a pas de cohérence entre les mots. Une autre de ces expériences est l'écriture automatique. Il s'agit pour l'auteur d'écrire les mots tels qui lui viennent et sans chercher à former des phrases cohérentes. [...]

[...] La première partie est constituée d'un journal. Il comporte également des photos, une biographie de Nadja, une autobiographie de Breton, le pacte autobiographique est respecté. On trouve également des allusions au communisme, les théories de Breton, ses amis, ce roman est une recherche de l'identité. On retrouve les pronoms personnels tu, toi. Il parle des différentes merveilles, le titre de l'ouvrage est éponyme, le roman est écrit à la première personne. C'est une forme d'introspection qu'il refuse. Les sentiments de Breton et ceux de Nadja sont également exprimés dans ce roman qui peut donc aussi être qualifié de roman d'amour. [...]