Fiche de lecture sur le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, rédigé en 1953.
[...] Alors qu'il n'avait cessé d'obéir aux ordres, il décide courageusement de se dresser contre le système et tente de sauver la littérature au péril de sa vie . -Mildred : Elle est l'épouse de Montag, qui la surnomme Millie. C e dernier la décrit comme une femme amaigrie par les régimes, le teint pâle, les cheveux brulés par les produits chimiques et les yeux couverts d'une sorte de cataracte invisible. Victime de a propagande, elle se conduit comme un véritable robot. [...]
[...] En ce qui me concerne, ce dessin m'apparaît aussi comme un appel à ne pas se faire influencer par la télévision au point de la laisser remplacer notre pensée. Ce message rejoint celui que j'ai perçu, dans Fahrenheit 451. Mon avis : J'ai aimé ce roman car il dénonce un problème de la société ; l'influence de plus en plus grande de la télévision sur notre société. L'auteur combine avec audace œuvre de science-fiction et roman engagé. De plus, on s'attache au personnage de Montag, héros luttant seul face à la dictature interdisant tout savoir. Néanmoins, cette vision futuriste plutôt négative m'a quelque peu déplu . [...]
[...] Elle finit par son arrestation suite à sa dénonciation. La dernière partie L'éclat de la flamme raconte la fuite de Montag et sa rencontre avec les hommes- livres. L'intrigue : L'histoire se déroule dans un futur lointain où lire et posséder des livres est considéré comme un délit. Plongés dans une société abrutie par la télévision, les gens ont fini par se persuader que le savoir et la culture étaient dangereux. Une brigade spécialisée de pompiers a alors vu le jour. [...]
[...] Il lui rappelait le danger des livres et le rôle essentiel des pompiers. Il confie alors à sa femme un secret qui lui pesait : il a dérobé des livres lors de ses missions pendant plus d'un an et les a cachés ici . Ce passage bien qu'assez court m'a plu car il révèle pour la première fois la force de caractère de Montag. Au début du livre, il apparaît pourtant comme un personnage soumis, trop aveuglé par le système pour se rendre compte qu'il le contrôle. [...]
[...] -Clarisse McClallen : Elle est la voisine du couple Montag. Cette jeune fille de dix sept ans au visage menu et aux yeux noirs est décrite comme un personnage excentrique complètement opposé à celui de Mildred. Elle refuse de s'abrutir, continuant à s'émerveiller devant les choses simples de la vie. Elle ne va pas à l'école car on la juge insociable, incapable de s'intégrer. Elle est contrainte de voir un psychanalyste, on la croit folle sous prétexte qu'elle se promène à pied, observe, réfléchit ! [...]
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