Chapitre 1 : où l'on traite d'un respectable personnage, de ses jeux cérébraux et du caractère éphémère de l'existence.
Le livre s'ouvre sur les origines familiales et le nom du sénateur Apollon Apollonovitch Abléoukhov (grandes oreilles.) C'est le matin, le sénateur se lève et en prenant son café, il s'informe si son fils, Nicolas Apollonovitch, est levé, mais le valet répond négativement (...)
[...] Et, tel un insensé, tu parcourras sans fin les avenues de Pétersbourg. Il y a eut beaucoup de changement depuis 5ans mais il reste une vision de ce qui fut l'ancien. A l'Institution, on attend toujours la venu du sénateur, son adjoint arriva à sa maison et le trouva dans sa robe de chambre et lui annonça que c'était la grève générale, lui donna un papier puis reparti. Apollon Apollonovitch prenait sa retraite, c'est ce que venait annoncer le directeur adjoint en retournant à l'Institution. [...]
[...] Chez lui, dans sa maison. L'inconnu est l'une des connaissances de son fils Nicolas, qu'il avait vu chez lui en train de discuter avec lui. La tête du sénateur est sans cesse prise de réflexions. Notre rôle. p.36 : référence aux ombres : "Les rues de Pétersbourg ont une propriété vraiment indiscutable : elles transforment en ombres les passants. Nous, lecteur prenons la place d'un agent de police qui a suivi l'inconnu jusqu'au restaurant. Il/Nous voyons passer un couple que nous distinguons à peine avec le brouillard. [...]
[...] Le bouffon rouge. Sophie ne faisait que des provocations face à Nicolas, un jour il n'y tint plus et l'embrassa, elle le gifla et l'insulta de bouffon rouge et lui de poupée. Nicolas parti mais elle s'en voulu, le rapella mais il claqua la porte avec la résolution de se suicider. Elle raconta l'histoire à son mari qui envoya un courrier à Nicolas pour le prier de ne plus venir chez lui. C'était de la lâcheté, de la lâcheté, de la lâcheté. [...]
[...] C'était le professeur libéral qui devait faire le premier pas vers l'autre groupe. La maîtresse de maison était en train de parler à l'une de ces personnes, il se mit donc dans la conversation. Comme quelqu'un qui pleurait. Une personne sonne à la porte, personne ne vient lui ouvrir d'abord. On attendait des masques mais ce n'était qu'une rumeur. Enfin le Domino rentre, avec son masque noir, les gens lui demandent si c'est lui qui court les rues, mais il ne répond pas. Enfin las de cette plaisanterie, ils se dispersent. [...]
[...] Il lance ses ordres, mais ils se perdent. Maintenant la Russie n'obéissait plus. Le soir du bal, il apparut comme grand, mais quand on sut le scandale avec son fils, on l'avait rayé du plus grand poste. Les pastilles de bicarbonate. Le laquais Sémionytch, dans sa chambre à l'aube cauchemarde, il entend un bruit de porte, peut être un cambrioleur, il s'en est passé dans le quartier pourquoi pas eux ? Il se lève. Pendant ce temps, Apollon est assit sur son lit et prend son pouls, en sortant, il bute sur le laquais qui lui dit avoir entendu du bruit. [...]
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