La Bête humaine, Emile Zola, 189, résumé de l'oeuvre, saga naturaliste, Les Rougon-Macquart, Jacques Lantier, Gervaise Macquart, tante Phasie, monsieur Grandmorin
Parue en 1890, "La Bête humaine" est le dix-septième roman de la saga naturaliste d'Émile Zola intitulée "Les Rougon-Macquart". Cet antépénultième volet bercé par la jalousie et les crimes nous fait suivre la vie de Jacques Lantier, jeune mécanicien ferroviaire à bord de la Lison sur la ligne Paris-Le Havre et fils de Gervaise Macquart, personnage central de "L'Assommoir".
[...] La Bête humaine - Émile Zola (1890) : résumé de l'œuvre Parue en 1890, « La Bête humaine » est le dix-septième roman de la saga naturaliste d'Émile Zola intitulée « Les Rougon-Macquart ». Cet antépénultième volet bercé par la jalousie et les crimes nous fait suivre la vie de Jacques Lantier, jeune mécanicien ferroviaire à bord de la Lison sur la ligne Paris-Le Havre et fils de Gervaise Macquart, personnage central de « L'Assommoir ». I. La visite à Paris de Roubaud Le roman s'ouvre sur la visite à Paris de Roubaud, irréprochable sous-chef de gare au Havre, appelé à témoigner pour une plainte déposée à son encontre et accompagnée de sa femme Sévérine. [...]
[...] Dans les bras de Philomène, Jacques est une fois de plus hanté par le besoin de tuer et se croyant maudit, fuit à nouveau. Un soir, Lantier et Pecqueux sont chargés de conduire des soldats sur le front Prusse. Pecqueux étant ivre, il surcharge la chaudière et augmente la vitesse de la locomotive. Jacques tente de la réguler, mais il en est empêché par son camarade qui le fait choir. Ils se battent et se précipitent hors du train en marche, le laissant filer sans conducteur. On retrouva leurs corps le long de la voie, encore liés par leur dispute. [...]
[...] Tante Phasie est morte. Son mari cherche désespérément l'argent de son héritage, il retourne la maison, mais ne le trouve pas. Pour se venger, Flore décide d'assassiner les amants en faisant dérailler le train qu'ils empruntent tous les vendredis. L'accident est d'une violence rare, les victimes sont nombreuses et la Lison, la locomotive de Jacques est réduite en miettes. Blessée, Sévérine se dégage et part à la recherche de son amant. Avec l'aide de Flore, Cabuche, Pecqueux et Misard, ils le dégagent des débris et le mettent à l'abri. [...]
[...] Un jour où la neige a recouvert le paysage, Sévérine emprunte la ligne Le Havre-Paris à bord de la Lison. Celle-ci se retrouve bloquée par la neige, au niveau de la Croix-de-Maufras. Offrant son hospitalité, une partie des voyageurs se mettent à l'abri chez le garde-barrière, dont Sévérine et Jacques. Flore les aperçoit ensemble et devine leur amour, la rendant folle de jalousie. Le train repart quelques heures après vers la capitale. Le train arrive à Paris dans la soirée. [...]
[...] Cabuche, qui était proche, voit un homme s'enfuir de la maison et décide d'entrer, découvrant le corps inanimé. Roubaud arrive en compagnie de Misard et constate, sous le choc, le décès de sa femme, tenue par Cabuche. Trois mois plus tard, Jacques regrette sa Lison, remplacée par une machine neuve. Il est heureux et sans remords, il se croit guéri de ses pulsions et veut tenter une aventure avec Philomène, la maîtresse de son camarade Pecqueux. Après le meurtre de Sévérine, Cabuche avait été arrêté, accusé de celui-ci et de celui de Grandmorin. [...]
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