Résumé de l'oeuvre de Beigbeder intitulé Au secours, Pardon accompagné par la biographie de son auteur.
[...] Le publicitaire y joue également un petit rôle et a participé activement au tournage. Résumé Au secours pardon raconte l'histoire d'un homme qui se croit libre comme la Russie, et qui va s'apercevoir que la liberté n'existe pas. C'est un quinquagénaire “très malheureux qui s'entoure de beauté parce qu'il confond le beau et le bien”. L'histoire est celle d'Octave Parango, sorti de prison, qui va partir en Russie pour le compte d'une firme de cosmétique afin d'y trouver un mannequin pour représenter la marque, en résumé son job est distinguer un bon produit d'un boudin masqué”. [...]
[...] Car c'est l'une des seules grandes puissances mondiales à avoir connu les deux extrêmes, le communisme et le capitalisme. C'est donc la preuve sur 17 millions de que l'Homme est trop égocentrique et individualiste pour vivre en accord avec les autres et qu'il est condamnait à une course effrénée vers le profit et la destruction du plus faible par le plus fort. De plus, la Russie est le pays de tout les excès : beauté, alcool, corruption, fortune, pauvreté C'est donc le territoire idéal pour conter la déchéance totale d'un individu névrosé par trop d'excès. [...]
[...] Et je suis peut-être méchante mais cela est tellement pénible, que l'on espère vraiment que l'histoire finisse mal pour Octave Parango. Aussi, le roman se compose de phrases courtes et chocs, des personnages provocants et des situations comiques mais au bout du compte, on n'apprend pas grand chose sinon des semi-vérités : les femmes russes sont belles, notre monde est dirigé par l'apparence, l'homme lambda est bête et obsédé J'admets avoir été déçue, les histoires de Beigbeder. Comme il l'écrit lui- même : refuse d'ouvrir le roman d'un écrivain qui pense à autre chose qu'à son propre plaisir!”. [...]
[...] Et avec une mère surprotectrice, un père coureur de mannequins, Octave a reçu un héritage conséquent. Mais c'est aussi en été que le Pope, son confident, lui fait rencontrer Héléna, une jeune russe de 14 ans conçue en France. Alors qu'Octave s'était interdit d'aimer à nouveau et qu'il était si sordide qu'il pratiquait le viole, il tombe éperdument amoureux de la jeune fille, peut- être en raison son physique est parfait (selon les critères marketing) ou peut-être par ce qu'elle est dernière chance” d'être heureux. [...]
[...] Il conclut qu'il est le parfait exemple de l'homme moderne. Il critique également notre société actuelle et des médias. Il présente l'égocentrisme comme étant “l'idéologie dominante”. Aussi chacun et chacune se dit vouloir être unique, mais en réalité tout le monde rêve de ressembler à la même couverture de magazine, en d'autre terme le paraître, l'argent sont les préoccupations premières de chacun et la différence est rejetée. L'utopie commerciale est partout. Des jeunes filles de 14 ans deviennent nos modèles de féminité. [...]
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