Mais tout au long de l'histoire, le bien commun a toujours émergé comme la première force de motivation à chaque fois que la survie, la prospérité et le bonheur des masses étaient menacés. Le problème fondamental aujourd'hui, c'est l'incapacité des institutions et des entreprises à adopter des valeurs qui encouragent le bien commun, même si un certain nombre ont compris leur importance ...
[...] Mise en place d'un tableau de bord prospectif des besoins Il doit aussi être orienté par les valeurs. Construit à partir du Balanced Scorecard, il comprend 6 parties : -survie corporate (correspond aux besoins physiques de l'organisation) performance se mesure en terme d'indicateurs financiers et de croissance. -santé corporate (cf besoins émotionnels de l'organisation) →amélioration des ystèmes et des processus : vitesse, durée du cycle, productivité, qualité et efficacité -Relations clients / fournisseurs (cf besoins émotionnels et spirituels de l'organisation). [...]
[...] sécurité et conscience de survie : Le premier besoin de base pour les salariés est la sécurité financière conscience relationnelle : Trouver amitié et camaraderie auprès de ses collègues conscience de l'estime de soi : Obtenir le respect et se sentir bien avec soi-même 4. réalisation de soi : Quand les individus assument l'entière responsabilité de leur situation. Niveaux de conscience supérieurs : 5. conscience de l'organisation : Les salariés recherchent un sens à leur travail, ils ne pensent plus seulement en terme d'emploi ou de carrière conscience de la communauté : Les salariés veulent se sentir utiles par une contribution personnelle. [...]
[...] Leur sens de la responsabilité comprend le lieu de travail et la communauté locale conscience de la société Les salariés cherchent à rendre service. Ils s'intéressent au monde dans son ensemble et sont très soucieux d'éthique. transformation de l'organisation passe par la transformation personnelle des salariés et leur accès aux niveaux de consciences supérieurs. fusions entre les sociétés avec des valeurs et des niveaux de conscience organisationnelle similaires (supérieurs ou inférieurs) sont celles qui ont les plus grandes chances de réussir. [...]
[...] Elles répondent très peu aux problèmes de la culture interne qui freinent l'innovation, la créativité et la productivité. Chaque organisation a une personnalité distincte que l'on appelle culture d'entreprise. L'entreprise doit établir une culture et une identité propre basée sur les motivations et les valeurs partagées par l'ensemble du personnel, c'est-à-dire sa vision du monde. Lorsqu'elle y parvient, la culture qui émerge encourage le bien commun. Le bien-être physique d'une entreprise dépend de son succès financier. C'est la source de l'énergie qui les maintient en vie. [...]
[...] Les indicateurs qui permettent de mesurer la bonne forme de l'entreprise sont la productivité, l'efficacité et la qualité. Le bien-être mental est lié à son ouverture au feedback interne et externe. Apprendre est essentiel à la survie dans un monde compétitif. Le succès externe alimente l'estime de soi et le moral de l'entreprise alors que la croissance interne nourrit la créativité. La participation et l'innovation permettent de mesurer le bien-être mental. Le bien-être spirituel se détermine par son degré de connectivité interne et externe. [...]
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