Christian Bobin est né le 24 avril 1951 au Creusot, en Bourgogne (France). Ses parents étaient des ouvriers. Pendant son enfance, il avait une nature plutôt solitaire et il aimait beaucoup lire.
Il a fait des études de philosophie, par la suite il a travaillé dans la bibliothèque municipale du Creusot et il a été rédacteur en chef de la revu Milieux. Mais il a également été infirmier psychiatrique.
Il commence à écrire en 1980, ces textes sont courts, ils se situent entre l'essai et la poésie. Mais il connaît pour la première fois le succès en 1991 avec « une petite robe de fête ». Puis il recevra le prix des deux Magot en 1993, ainsi le Grand prix catholique de littérature la même année, pour son livre consacré à Saint François d'Assise paru en 1992, « le Très-Bas ». Il écrit par la suite « La plus que vive » en 1996, qui est un hommage rendu à son amie Ghislaine, morte à 44 ans (d'une rupture d'anévrisme). Suite à cela vient « autoportrait au radiateur », qui est paru en 1997 et où son amie Ghislaine a toujours une place importante.
[...] L'auteur écrit quelques lignes voir quelques pages presque tous les jours. Le narrateur est homodiégétique, parce que le narrateur raconte sa propre histoire. Mais c'est également un autoportrait du narrateur qui n'est autre que Christian Bobin lui-même. Plusieurs élément nous le confirme, comme le fait qu'il vive dans la ville de son enfance, dans cette ville il y a une usine qui fait vivre tous les habitants c'est usine n'était autre que l'usine Schneider, qui se trouve dans le Creusot. [...]
[...] Autoportrait au radiateur Christian Bobin Biographie et bibliographie Christian Bobin est né le 24 avril 1951 au Creusot, en Bourgogne (France). Ses parents étaient des ouvriers. Pendant son enfance, il avait une nature plutôt solitaire et il aimait beaucoup lire. Il a fait des études de philosophie, par la suite il a travaillé dans la bibliothèque municipale du Creusot et il a été rédacteur en chef de la revu Milieux. Mais il a également été infirmier psychiatrique. Il commence à écrire en 1980, ces textes sont courts, ils se situent entre l'essai et la poésie. [...]
[...] La mort La mort est très présente dans ce livre, en premier lieu avec la perte de Ghislaine, son amie. Mais elle est également représentée par la mort de la mère de Ghislaine. Il n'est pas vraiment triste de la mort de Ghislaine, il l'accepte. Pour lui la mort n'est pas une fin en soi, mais une continuation une suite logique de la vie. Il croit également en la réincarnation. Mais il y a également les fleurs, les fleurs qui ce meurent gentiment avant d'être remplacé par d'autre. [...]
[...] Ensuite le narrateur aime beaucoup la solitude et les livres comme Christian Bobin. Il aime beaucoup la vie et l'amour, mais il parle a de nombreuses reprises de la mort. Il parle de la mort d'une Ghislaine, qui était son amie. Pour toutes ces raisons je pense que ce livre est un autoportrait de Christian Bobin, d'ailleurs le titre du livre est autoportrait au radiateur Mais Christian Bobin à travailler en tant qu'infirmier dans un hôpital psychiatrique et dans ce livre à plusieurs moments il parle de folie ou de personne qui sont folles, mais il n'en parle pas de manière péjorative. [...]
[...] Mais on comprend très vite que pour Christian Bobin, son Dieu n'est rien d'autre que la confiance dans la capacité humaine. Il n'a pas besoin d'église ou de clan, ni de s'identifier à une religion, pour lui l'Homme est au centre de tout. Malgré sa solitude, il a une foi en l'Homme et la nature impressionnante. Pour lui les hommes traitent entre eux de leur paradis sur terre. La solitude La solitude, Christian Bobin aime la solitude depuis qu'il est enfant. Il vie seul dans son appartement, il quitte très rarement sa ville du Creusot. [...]
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