L'Astrée est un roman pastoral publié de 1607 à 1627 par Honoré d'Urfé. L'auteur mourant en 1625, on dit que c'est son secrétaire Balthazar Baro qui aurait achevé la quatrième partie et lui aurait donné une suite. Cependant, les avis divergent sur la paternité littéraire des cinquième et sixième parties.
C'est l'une des œuvres littéraires les plus importantes du dix-septième siècle, à tel point que L'Astrée est parfois appelé « le roman des romans ». Ce surnom s'explique d'abord par sa taille considérable (cinq parties, soixante livres et cinq mille trois cent quatre-vingt-dix-neuf pages) mais aussi par l'immense succès qu'il a eu dans toute l'Europe : Marie-Antoinette et Jean-Jacques Rousseau entre autres ont lu et aimé L'Astrée.
Il est difficile de résumer L'Astrée tant l'œuvre se constitue d'intrigues dans l'intrigue. Cependant, l'histoire principale reste la romance parfaite entre Astrée, l'héroïne qui a donné son nom au roman et Céladon, deux bergers. Mais d'autres histoires se tissent en filigrane : les ambitions politiques de certains personnages, les trahisons, et même diverses autres péripéties vécues par des personnages n'ayant aucun lien avec l'histoire centrale.
[...] C'est l'une des œuvres littéraires les plus importantes du dix-septième siècle, à tel point que L'Astrée est parfois appelé le roman des romans Ce surnom s'explique d'abord par sa taille considérable (cinq parties, soixante livres et cinq mille trois cent quatre-vingt-dix-neuf pages) mais aussi par l'immense succès qu'il a eu dans toute l'Europe : Marie-Antoinette et Jean-Jacques Rousseau entre autres ont lu et aimé L'Astrée. Il est difficile de résumer L'Astrée tant l'œuvre se constitue d'intrigues dans l'intrigue. Cependant, l'histoire principale reste la romance parfaite entre Astrée, l'héroïne qui a donné son nom au roman et Céladon, deux bergers. Mais d'autres histoires se tissent en filigrane : les ambitions politiques de certains personnages, les trahisons, et même diverses autres péripéties vécues par des personnages n'ayant aucun lien avec l'histoire centrale. Avant-propos J'avoue avoir eu énormément de mal à finir L'Astrée d'Honoré d'Urfé. [...]
[...] La plus célèbre d'entre elles fut celle de Daniel Rabel qui resta la référence pendant au moins un siècle. Par ailleurs, il est important de noter qu'Honoré d'Urfé n'a jamais pu donner son aval à aucune des illustrations puisqu'il est mort huit ans avant leur publication. Mais malgré cela, ce qui frappe pourtant, c'est bien l'extrême subordination de l'image au texte originel. Chez Rabel en particulier, la fidélité à l'écrit est maximale. La marque la plus visible de cet assujettissement est l'inscription du nom des personnages sur leurs représentations, d'autant plus importante vu la profusion des personnages de L'Astrée. [...]
[...] Il ne s'agit pas en effet d'un comique burlesque très visible mais d'un comique modéré ; une sorte de gaieté qui change de la tonalité parfois trop sérieuse du roman. Les illustrations de L'Astrée L'engouement suscité par L'Astrée au dix-septième siècle est attesté par ses innombrables représentations dans l'art. Mais cette production n'est sans doute pas seulement due à cette incroyable popularité. En effet, Honoré d'Urfé sollicite sans cesse l'imagination du lecteur par les minutieuses descriptions des décorations, des intérieurs et des paysages. C'est donc à partir de 1632 environ que des éditions illustrées de L'Astrée ont commencé à apparaître. [...]
[...] J'ai trouvé ce roman vraiment très long et compliqué. Comme je l'ai déjà dit plus tôt, les multiples intrigues et l'écriture difficile complexifient beaucoup la lecture de l'œuvre. D'autant que je n'ai pas trouvé l'histoire particulièrement intéressante. Je vais donc avoir des difficultés à approfondir quelques aspects de l'œuvre. J'ai cependant choisi d'étudier le comique, peu évident mais bien présent dans l'œuvre et de montrer quelques illustrations inspirées de L'Astrée. Le comique dans L'Astrée En France au dix-septième siècle, le comique est souvent doté d'une connotation plutôt négative et se voit rejeté du domaine de la belle littérature Dans cette optique, il paraît impossible de parler de comique dans L'Astrée. [...]
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