Chapitre I
Gervaise Macquart, une Provençale originaire de Plassans, vient d'arriver avec ses deux enfants, Claude et Étienne, dans un Paris pauvre et hostile. Auguste Lantier, son amant, vient de découcher pour la première fois et n'est pas rentré à l'hôtel où ils logent. Chapelier, Lantier est paresseux, infidèle et ne supporte pas de vivre dans la misère. Au sein du couple, Gervaise, boiteuse mais plutôt jolie, se laisse aller, les scènes de ménage se multiplient et le manque d'argent se fait de plus en plus sentir. Gervaise va alors au lavoir où elle rencontre la concierge, Madame Boche, à qui elle se confie (...)
[...] Le couple se bat, Gervaise ne travaille plus que très rarement et devient alcoolique. Chapitre XI Tout se dégrade. Nana grandit et se dévergonde : devenue fleuriste, elle se laisse courtiser puis entretenir par un homme bien plus âgé, manque parfois son travail, finit par fuguer et court les bastringues. Gervaise boit, ne travaille plus qu'à la journée comme laveuse et grossit encore plus. Lantier est maintenant l'amant de Virginie, trône dans la boutique, la ruinant peu à peu, et convainc sa maîtresse d'employer Gervaise au ménage de l'épicerie. [...]
[...] Émile Zola, L'Assommoir RÉSUMÉ Chapitre I Gervaise Macquart, une Provençale originaire de Plassans, vient d'arriver avec ses deux enfants, Claude et Étienne, dans un Paris pauvre et hostile. Auguste Lantier, son amant, vient de découcher pour la première fois et n'est pas rentré à l'hôtel où ils logent. Chapelier, Lantier est paresseux, infidèle et ne supporte pas de vivre dans la misère. Au sein du couple, Gervaise, boiteuse mais plutôt jolie, se laisse aller, les scènes de ménage se multiplient et le manque d'argent se fait de plus en plus sentir. [...]
[...] Gervaise est enceinte et le couple a une fille : Anna, que tout le monde surnomme Nana. Le couple se lit d'amitié avec les voisins de palier, les Goujet, dont le fils, forgeron vaillant et sûr, vit avec sa mère. Trois années plus tard, le quotidien du couple s'est grandement amélioré et l'argent mis de côté tente Gervaise pour réaliser son rêve : ouvrir sa propre boutique de blanchisseuse. Prospectant pour trouver un local, elle propose à Coupeau de venir en visiter un avec elle. [...]
[...] Totalement démunie, Gervaise en vient à se prostituer, se proposant même à Goujet, qu'elle n'a pas reconnu. Chapitre XIII Gervaise voit mourir Coupeau à Sainte-Anne, au milieu des hallucinations du delirium tremens. Pendant des mois, elle poursuit alors sa déchéance sociale avant de mourir de faim et de misère, dans un réduit situé sous l'escalier de l'immeuble. Personne ne s'aperçoit de sa disparition et c'est l'odeur dans le corridor qui alerte les voisins. Elle sera enterrée par le père Bazouge. [...]
[...] Se retrouvant, tout le monde quitte le musée à la fermeture et, après une averse violente, monte à la colonne Vendôme avant de revenir pour le grand repas du soir où Mes-Bottes, un ami arrivé en retard et ivre, engloutit des portions formidables et continue à boire. Le repas se termine sur une dispute avec le patron quant au montant excessif de la note affichant des suppléments qui n'avaient pas été commandés. Au retour, Gervaise est publiquement humiliée par Madame Lorilleux qui lui lance son surnom de Banban Enfin, elle est effrayée en rencontrant un voisin ivre, le sinistre croque-mort Bazouge. Chapitres IV et V Quatre années se sont écoulées. Gervaise et son mari travaillent dur, gagnant de quoi vivre avec un peu plus d'aisance. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture