L'Assommoir, Emile Zola 1876, résumé de l'oeuvre, Gervaise Macquart, classe ouvrière du 19e siècle, Auguste Lantier, fils Goujet, Coupet, Lorilleux, M. Marescot, M. Bazouge, destin tragique, fatalité, condition ouvrière
Le livre L'Assommoir est une histoire qui s'ancre dans la fresque des "Rougon-Macquart", et qui peint les traits du XIXe siècle. On peut y voir les difficultés qu'avait la classe ouvrière pour vivre à cette époque. Cette histoire met en scène Gervaise Macquart, qui est le personnage principal de L'Assommoir. Dans le chapitre 1, on la voit, avec son mari, Auguste Lantier, et leurs deux enfants, Claude et Étienne. Vous pourrez d'ailleurs retrouver Étienne dans le livre Germinal.
[...] Virginie abandonne après avoir reçu une fessée de Gervaise. Plus tard, Gervaise rencontre un autre homme, Coupeau, souvent surnommé dans le livre Cadet-Cassis. Coupeau souhaite se marier avec Gervaise, mais celle-ci refuse, car elle ne veut pas revivre l'enfer qu'elle a autrefois vécu avec Lantier. Cependant, Coupeau devient de plus en plus triste de ne pas pouvoir être avec elle, et Gervaise cède. Ils se marient alors. La sœur de Coupeau, Madame Lorilleux, et son mari, Monsieur Lorilleux, voient ce mariage d'un mauvais œil. [...]
[...] Ce magasin se situe au rez-de-chaussée de l'immeuble qu'habitent les Lorilleux. Les gardiens de cet immeuble sont les Boche, les mêmes personnes qui gardaient l'immeuble qu'habitait Gervaise quand elle était avec Lantier. Les Lorilleux sont jaloux du bonheur de Gervaise, qu'ils surnomment la Banban, à cause du fait qu'elle boite d'une jambe, et décident de ne plus lui parler. Les Boche en font donc de même. Gervaise prend alors plusieurs employés pour sa boutique, une stagiaire, nommée Augustine, la grande Clémence et Madame Putois. [...]
[...] Ils sombrent tous deux, peu à peu, dans l'alcool. Coupeau se met alors à faire des crises, que l'on appelle Delirium Tremens. Il imagine des choses qui ne se passent pas réellement à cause de son alcoolémie. Nana, la fille du couple, est embauchée chez Madame Lerat, sa tante, afin d'être fleuriste. Elle fugue beaucoup et ne veut pas rester au domicile familial. Coupeau fait de nombreux allers-retours à l'hôpital psychiatrique. Un jour, Gervaise se rend compte que Coupeau n'est pas rentré au domicile durant une semaine. [...]
[...] Lors du repas, Lantier passe devant la boutique et s'arrête là. III. La mort dans le récit Coupeau, qui a trop bu, sort afin de s'expliquer avec Lantier. Ils s'expliquent quelques minutes, puis le ton se calme et Coupeau fait entrer Lantier chez eux, afin qu'ils prennent un morceau avec eux. Selon lui, on ne peut pas rester fâchés 9 ans avec une personne. Coupeau et Lantier font donc des sorties tous les deux. Coupeau se met à boire de la goutte et devient peu à peu alcoolique. [...]
[...] Le propriétaire de son appartement, M. Marescot, la met dehors, car elle ne paye plus le loyer. Mais il accepte qu'elle prenne la place de M. Bru, par terre, dans le hall, car celui-ci est décédé. Une semaine plus tard, M. Bazouge, surnommé Bibi la gaité, la retrouve morte, allongée par terre. L'histoire se termine comme elle avait commencé, dans d'horribles conditions. Cela démontre bien le destin tragique et la fatalité du milieu de Gervaise, qui devait, dès le début, la tuer. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture