Analyse, Les mots, Jean-Paul Sartre
Sartre décrit toute sa famille. Il explique que son grand père maternel, Charles Schweitzer, a décidé devenir professeur d'allemand. Il épousa Louise Guillermin, grande catholique. Ils firent rapidement chambre à part, et elle entrait toujours en contradiction avec ce que son mari pensait ou disait. Elle lisait beaucoup. Ils eurent tout même 4 enfants : une fille morte en bas âge, Georges qui entra à Polytechnique, Émile qui devint professeur d'allemand et Anne-Marie la fille cadette qui était merveilleusement belle, mais tout le monde lui cachait.
[...] Puis il se mit à écrire de plus en plus de poème, laissa tomber les vers pour la prose, il essaye de retranscrire les Fables de la Fontaine, et finit par écrire lui même ses histoires en sortant ses images de cinéma de la tête. Il jubilait de voir ses idées sur le papier. Il avait la sensation que désormais ses films existaient dans le monde. Le premier roman de son Cahier de Romans fut : Pour un papillon Il plagiait ses propres idées, ses propres images. [...]
[...] Néanmoins il jette la vieille et garde la nouvelle : elle a quelque chose de supérieure, un mot qui change, etc . Dans ses moments d'impatience et de désespoir, Sartre retrouvait sa difficulté d'être, et cela lui prouvait qu'elle n'avait pas jamais disparue. Sartre explique que le manque de croyance sincère le poussa à former son propre ordre. Sartre à peut que la terre disparaisse car dans ce cas là, tout les morts seront réellement disparu, et cela sera différent que si ils étaient tout simplement oublié. [...]
[...] Ils venaient d'avoir un enfant : Jean-Paul Sartre. Perdue, sans argent, Anne-Marie décida de retourner vivre chez ses parents. Elle redevint rapidement mineure avec des couvres feu et de l'argent de poche etc . Sartre annonce que la mort de Jean-Baptiste fur la grande affaire de vie : elle rendit mère à ses chaînes et [lui] donna la liberté. Sartre explique qu'il regrette un peu de ne pas avoir eut le temps de connaître son père, et ce qui le rend le plus malheureux c'est que personne n'a été capable de lui en parler. [...]
[...] Longtemps il avait peur de finir n'importe où, n'importe quand, mais la générosité lui permit d'écrire, de cette manière il pourrait tailler le génie à travers ses livres et il en écrirait beaucoup : vingt-cinq tomes, dix-huit mille pages de texte, trois cents gravures Il devient alors connu et indispensable. C'est de cette façon que Sartre se voit parfois. Pour Sartre la gloire et la mort vont ensemble. Depuis l'âge de 9 ans, il n'éprouve plus de pathétisme. Mais Sartre n'a pas peur de sa mort et il ne pouvait mourir de façon accidentelle car le Saint-Esprit [lui] avait commandé un ouvrage de longue haleine, il fallait bien qu'il [lui] laiss[e] le temps de l'accomplit. [...]
[...] Anne-Marie lui parlait souvent de Karlémami qui correspond à Karl, le grand père de Sartre et à sa mamie. Cette association des deux termes permettait de faire ressortir une unité, une cohésion sans faille de la famille de Sartre. Souvent Charles est en colère contre les allemands lorsque ceux ci lui demande ses billets lorsqu'il retourne voir ses amis en Allemagne. Il se calme lorsque le petit le lui demande, et seulement lorsque c'est lui qui lui demande. De même, à Gunsbach, Charles s'emportait toujours contre sa belle sœur, etc . [...]
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