Amélie Nothomb est un nom qui paraît familier. En effet cette écrivaine contemporaine chaque année fait parler d'elle en sortant un nouveau roman. Qui n'a pas un parent, une soeur, ou un ami en aillant déjà lu un. Son écriture riche et son style épuré mais très imagé lui permit d'écrire beaucoup. Elle écrivit des autobiographies qui narrent son enfance très singulière comme La métaphysique des tubes.
[...] C'est à partir de cette période qu'Amélie Nothomb commence à écrire, sans prétendre toutefois encore pouvoir vivre de sa plume. Elle continue en effet à chercher sa voie professionnelle, ce qui l'amène à retourner quelques temps au Japon. Auteur déjà de plus d'une vingtaine de manuscrits personnels, Amélie Nothomb décide de se lancer et publie à 25 ans son premier roman, Hygiène de l'assassin (1992), qui marque également son premier succès. Véritable phénomène littéraire, la jeune femme enchaîne les publications à raison d'un livre par an, qui connaissent tous une impressionnante carrière commerciale. [...]
[...] Un Dieu "qui ne voit pas le temps passer". Une sorte de mort avant la vie. Sa seule occupation est de transiter de la nourriture. Pendant un court moment le Dieu éteint du commencement se métamorphosa en Dieu exigeant et toujours insatisfait. L'enfant pleur et crie sans cesse. Un peu comme "Louis XIV", le tube a pris vie mais est frustré de la vie. Le tube métaphysique devint très irritable. Le désire de règne et son introspection divine et absolue atteint alors son paroxysme. [...]
[...] Elle pense que la nature éclos et fleurit pour son avènement. Tout ça accompagné d'une curiosité époustouflante et d'un goût pour la découverte. Notamment la parole et la lecture. D'une observation très logique et adulte des choses qu'on pourrait croire des fois appartenir à l'auteur. C'est un "Moi" aux apparences très humbles mais dont les pensées nous font découvrir la psychologie d'une petite fille de cet age. Malgré cet aspect très commun, on dénote parfois une méditation et réflexion très singulière pour un enfant de son age. [...]
[...] Pour ne pas dire un jugement philosophique. Ainsi, Amélie Nothomb observe-t-elle dans son roman la vie (divine, humaine, animale, végétale) au travers du prisme du tube : "Regarde donc. Regarde de tous tes yeux. La vie, c'est ce que tu vois: de la membrane, de la tripe, un trou sans fond qui exige d'être rempli. La vie est ce tuyau qui avale et qui reste vide.". En effet, Pendant tout l'incipit de ce roman, Amélie décrit et essaie de définir d'une façon un peu complexe Dieu. [...]
[...] D'ailleurs "ses fidèles", sont pour elle des adjuvants, "c'était Nishio-San, les futago et les passants"; mais aussi tout ses sujets (Son jardin et le monde). On peut dire ses parents ainsi que sa grand-mère lui ont également permis de grandir. Elle a une intimité avec sa sœur. Et Hugo lui a sauvé la vie. L'eau est un adjuvant, car elle s'y reconnait et la plupart des solution passent par l'eau. Son opposant principal est sa seconde gouvernante "Kashima-san" qui ne l'aime pas, et refuse constamment les avances que lui fait le héros. Et c'est à cause d'elle que Nishio-san veut partir à la fin. [...]
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