Musset a écrit Les Caprices de Marianne, sa première pièce de théâtre, en 1833. Après cette oeuvre, il a encore écrit 8 pièces de théâtre : Andrea del Sarto, 1833 ; Fantasio, 1834 ; On ne badine pas avec l'amour, 1834 ; Lorenzaccio, 1834 ; le Chandelier, 1835 ; la Quenouille de Barberine, 1835 ; Il ne faut jurer de rien, 1836 ; Un caprice, 1837. Après ces pièces de théâtre, il a écrit des poèmes, une autobiographie, des lettres, des contes et des fantaisies poétiques (...)
[...] Alors, Marianne annonce à Octave qu'elle prendra comme amant le premier qui se présentera (Elle voulait bien sûr que ce soit Octave Toujours très loyal, Octave alla prévenir Coelio de se rendre sous le balcon de Marianne s'il veut être son amant. La nuit, Coelio, de se rendit sur les lieux mais malgré l'obscurité, Marianne confondit Coelio avec Octave. Ce quiproquo poussa Coelio à se laisser tuer par les spadassins qu'avait envoyés Claudio. IV. LES PERSONNAGES PRINCIPAUX : Coelio : C'est un personnage important de la pièce de théâtre. C'est la victime du déroulement de l'histoire. En effet, il souffre d'amour durant toute la scène et y meurt à la fin. [...]
[...] Résumé de Les Caprices de Marianne 4. Les personnages principaux Travail I. LE LIVRE : - Auteur : Alfred de Musset - Titre : Les Caprices de Marianne - d'édition : - Date d'édition : Mars 1993 - Collection : Classiques Larousse - Nombre de pages : 65 pages II. L'AUTEUR : Alfred de Musset : Poète français (Paris 1810 Paris 1857), second fils de Musset-Pathay. A la fin de ses études secondaires, il est introduit dans le cénacle de Ch. [...]
[...] Coelio demande à plusieurs personnes dont Octave, son meilleur ami et un cousin de Marianne, de la faire changer d'avis. Mais Marianne repousse tout le monde, décidée à ne pas tromper son mari. Hermia, la mère de Coelio, essaye de détourner son fils de ses sombres pensées. Ensemble, ils se rappellent une histoire tragique. Autrefois, Hermia a éconduit un jeune homme, Orsini, lui préférant son meilleur ami, le futur père de Coelio. L'aventure s'est terminée par le suicide d'Orsini. Marianne, respectueuse envers son mari, prévient Claudio de la démarche d'Octave. [...]
[...] Coelio ne retiendra de son amour pour Marianne que le goût morbide de l'échec. En fait, la seule femme qui l'intéresse, inaccessible comme la jeune fille, est sa propre mère, Hermia. Il la célèbre avec enthousiasme, elle dont la beauté rappelle ‘'le port majestueux d'une reine, et les formes gracieuses d'une Diane chasseresse'' (Acte 1 ; scène 2). Il nie ou travestit la vérité, enfermé dans son obsession morbide, sa mort apparaissant alors comme un suicide déguisé. Avant de disparaître, il croît léguer à son ami Octave le mal qui l'a miné durant sa vie, le fardeau que son père dut porter longtemps, celui de l'amitié trahie. [...]
[...] Musset a écrit Les Caprices de Marianne, sa première pièce de théâtre, en 1833. Après cette œuvre, il a encore écrit 8 pièces de théâtre : Andrea del Sarto ; Fantasio ; On ne badine pas avec l'amour ; Lorenzaccio ; le Chandelier ; la Quenouille de Barberine ; Il ne faut jurer de rien ; Un caprice Après ces pièces de théâtre, il a écrit des poèmes, une autobiographie, des lettres, des contes et des fantaisies poétiques. III. RESUME DU LIVRE : Premier acte scènes) : Coelio tombe amoureux de Marianne, très belle femme déjà mariée avec Claudio dont elle tient à rester fidèle. [...]
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