Michel Leiris se décrit physiquement. Grâce à l'astrologie, il donne une signification à son physique. Il se trouve laid. Il décrit les gestes qu'il fait et explique qu'il doit certainement oublier des détails chez lui qui, pour les autres, doivent être flagrants.
Son activité est la littérature, mais les livres qu'il a publiés ne l'ont pas rendu célèbre.
Il ne parle pas d'autres langues, malgré beaucoup de voyages. Il est ethnographe (...)
[...] Elle le fait mais le lendemain, elle raconte tout à son père et son mari et se suicide d'un coup de poignard. Junius Brutus appelle à la révolte est la déchéance des Tarquins est proclamée. Pour lui, l'acte amoureux est synonyme de vérité. Il pense que la corrida est un sacrifice et que cela lui confère une valeur passionnelle. Il pense qu'il y a une union entre le torero et le taureau. Il raconte les autres corridas qu'il a vues. Il s'identifie soit au taureau lorsqu'il va se faire poignardé, soit au torero qui risque de mourir. [...]
[...] Le suicide est une façon d'échapper à la mort selon les gens, mais pas pour lui. L'histoire de Judith a eu une grande influence sur sa vie. L'hostilité qu'il a contre son père est due à son manque artistique. Michel était destiné à Polytechnique, mais ce n'est même pas un artiste. Son père a acheté 3 statues que Michel trouve moches et il s'en vante auprès de ses amis. Son père organise des soirées musicales où vient sa tante Lise qui chante très bien. Il la considère comme une Judith. [...]
[...] Il voit la vie comme un drame. Il se demande jusqu'où il serait prêt à souffrir et être torturé pour sa femme et se rend compte de sa lâcheté. II - ANTIQUITES : En juillet 1925, il fait le rêve de voyantes dont le double astral apparaît, fentes à la place des narines et sang pour la bouche : des vampires, selon lui. Il pense par formules, analogies et images, car quand il était petit, il adorait les allégories. Dans le Nouveau Larousse Illustré, il voit un célèbre tableau de Cranach avec deux femmes nues, qu'il trouve alors extraordinaire. [...]
[...] Finalement, voulant passer des vacances avec les nouveaux amis de Kay, dont celle-ci était jalouse, Michel lui déclare, lors d'une promenade au Bois, qu'il ne l'aime plus. Le festin d'Holopherne : Après avoir quitté Kay, il arrête ses études dans le laboratoire de chimie et se met à la littérature et à la poésie. Il est révolté contre tout mais ressent aussi du bonheur. Il est très excentrique. Il se satisfait des relations amicales et trouve de nouveaux amis comme avant. L'un d'eux constitue son mentor Il connaît la pauvreté durant cette période. [...]
[...] qu'il l'initie à la poésie. Il considère l'inspiration comme une transe. Il rencontre une femme dont il demande la main. Mais étant trop lointain en sa présence, elle refuse. Il prend bien cet échec, pensant qu'il ne doit pas être marié pour se consacrer entièrement à la poésie, ce qu'il fait par la suite. Avec ses copains, il pense que l'alcool, la fumée et la foule sont propices à l'inspiration. Il vit dans la chasteté, mais plus par déficience que par volonté ce qui le couvre de honte. [...]
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