Freud désire marquer une certaine distance entre ses théories et la philosophie, puisqu'il s'est affirmé comme un psychanalyste. Malgré tout, ses travaux sur la psychanalyse sont à l'origine des grandes questions philosophiques notamment sur l'inconscient. Ce qui remet en cause l'idée de liberté, l'homme devenant ainsi esclave de ses pulsions.
Les 5 leçons sur la psychanalyse n'est donc pas un ouvrage philosophique mais il ouvre la porte aux grandes réflexions telles que la liberté ou l'origine de la création artistique.
Nous verrons donc chaque leçon plus en détails ainsi que les principes mis en avant par Freud dans chacune (...)
[...] Œdipe, lui, sans le savoir, n'a pas passé cette étape et sa mère est restée l'objet de ses désirs amoureux. Cinquième leçon La cinquième leçon est la plus courte. Freud y développe plusieurs idées, dont nous étudierons les plus importantes. La nature des névroses est la sexualité infantile. En effet, les symptômes correspondent à des instincts érotiques. Les individus se réfugient dans la maladie pour pouvoir avoir les plaisirs que la vie leur refuse. C'est un certain retour à l'enfance ; on revient alors à un stade antérieur à la libido. [...]
[...] Il hérite des origines sociales de ses parents. Le Surmoi punit le Moi pour ses écarts notamment pat les remords. Ces différentes représentations de l'individu permettent de mieux comprendre la pensée freudienne et son travail en tant que psychanalyste oscillant ainsi entre le conscient et l'inconscient. [...]
[...] De cette manière là, le malade juge tout d'abord de la gravité ou non de l'idée refoulée et tous les symptômes liés à l'hystérie tendent à disparaître. Il y a donc une relation entre les symptômes et les traumatismes physiques. Troisième leçon Dans cette troisième leçon, Freud cherche un moyen de faire revenir les idées refoulées vers le conscient. Freud admet que sa théorie est imparfaite, en effet, elle ne permet pas de savoir pourquoi des souvenirs (n'ayant aucun rapport avec l'idée recherchée) apparaissent durant le traitement. Freud a alors recours au déterminisme psychique de son ami C.G.Jung et des ses élèves de Zurich. [...]
[...] Mais ce procédé avait comme inconvénient d'être long et pénible ; Freud voulu alors savoir pourquoi il était si difficile pour les malades de se rappeler de telle ou telle chose. Freud en vient alors à la conclusion que le malade effectue un processus de refoulement. Ainsi, le processus de refoulement correspond au fait de vouloir oublier quelque chose à jamais. Le malade détient une force qui l'empêche de se remémorer les souvenirs douloureux oubliés, ces souvenirs restent du côté de l'inconscient. [...]
[...] Ces désirs, Freud les considèrent comme étant de nature sexuelle. L'enfant dès son plus jeune âge, présente des manifestations de type sexuelles. C'est ce que l'in appelle ma sexualité infantile. Dès son plus jeune âge, l'enfant peut se procurer différentes sensations, notamment le plaisir par l'excitation de quelques organes (bouche, anus, urètre L'enfant satisfait tout seul ses plaisirs, c'est la phase d'auto- érotisme, cela se fait pat la succion ou le tettement. Il y a aussi la libido qui est une composante du plaisir sexuel et qui nécessite l'intervention d'une personne étrangère. [...]
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