Ce document est une analyse linéaire d'un texte de l'oral du bac "Drôle d'adieu d'une mère à une fille" de Mme de Lafayette.
[...] Dans la deuxième phrase, on à l'image d'une mère protectrice, mais tjr manipulatrice. Elle dit que sa fait « déjà longtemps » qu'elle est au courant : 2 adv de temps Mais c'est contraire à la sincérité et donc à ses principes d'éducation. Dans la troisième phrase, on fais un retour sur l'évocation du danger, qui est de tromper son mari. «précipice » métaphore, image de la chute qui renvoie à l'adultère. « grand [ ] grand » répétition LA SERIE DE CONSEIL Elle veut convaincre sa fille de ne pas tromper son mari 1ère phrase : Appel à la réflexion Répétition du verbe « Songez » Parallélisme : « Songez Songez » Ligne Elle utilise des arguments, elle fait appel au poids de la religion avec le terme « mari » la promesse de fidélité. [...]
[...] L'EXORDE Donc l'exorde, commence dés le début avec une phrase d'adieu traditionnel mais qui devient très vite très surprenant. Sa première phrase : « Il faut nous quitter » c'est un euphémisme pour ne pas dire qu'elle va mourir et elle ne veut pas choquer sa fille. « Ma fille » : Possesif + apostrophe ; « en lui tendant la main » = affection Jusque là des adieux normaux jusqu'a ce que évocation du « péril » = danger qui est mis en évidence car il est au début de la phrase. [...]
[...] Oral BAC : Texte n°1 Drôle d'adieu d'une mère à une fille. Mme de Lafayette, 17ème S (Clacisisme). Subissait double influence, morale/religieuse.Elle le fais subir à ses personnages, comme la princesse de Clèves. Se fait influencer par Laroche Foucault : pecimiste de l'amour. Mlle de Chartres à rencontré le duc de Nemours trop tard, elle est marié au prince de Clèves qui l'aime sincèrement, mais elle est amoureuse de Nemours. La mère de la princesse, qui à toujours veillé à son éducation à deviné cette passion. [...]
[...] Cet adieu est un véritable discours, construit et soigné. Mme de Chartres est à la fois convaincante et persuasive pour guider sa fille sans hésiter à la faire culpabiliser. Pour la princesse c'est comme si sa mère lui faisait un serment sur son lit de mort et son discours va donc rester dans son esprit. La disparition de sa mère laisse donc plus de suspens au récit. Mais la princesse résistera elle à sa passion sans la présence de sa mère ? [...]
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