Sciences humaines et arts, L'assassin habite au 21, Stanislas-André Steeman, 1939, Londres, années 30, Mr. Smith
Dans les années 30, Londres est terrorisé par un mystérieux assassin, qui a tué sept personnes en deux mois et demi. Il utilise toujours la même méthode : la victime marchant seule dans le brouillard londonien se fait fracasser le crâne à l'aide d'un sac de sable. L'assassin signe son méfait en abandonnant une carte de visite au nom de Mr. Smith.
La police n'arrive pas à trouver de lien entre les différentes victimes, et le nom de Smith est extrêmement courant en Grande-Bretagne.
[...] Dans ce roman, l'auteur fournit peu à peu les indices nécessaires afin que le lecteur ait toutes les cartes en main pour découvrir qui est monsieur Smith. Il s'adresse directement au lecteur pour lui annoncer que maintenant il sait tout ce qu'il doit savoir pour trouver lui-même le fin mot de l'histoire. Je trouve une bonne idée d'avoir mit beaucoup de personnages très typés car à chaque roman du roman ils peuvent être considéré comme un coupable éventuelle. Pour moi Stanislas André Steeman était un très grand auteur belge ainsi que Georges Simenon même si leurs ouvrages ne sont pas très récents. [...]
[...] Julie est assassine par Mr Smith pendant sa première nuit à la pension. Mr Lallapoor : C'est une sorte de prestidigitateur hindou. Mr et Mme Crabtree : Madame Crabtree domine son mari, qui est un peu timide. C'est cependant lui qui découvrira qui se cache derrière le nom de Mr. Smith. Miss Pawter : publicitaire Ms Holland : C'est une vieille fille qui écrit des contes de fées pour des journaux enfantins. Mr Collins : Il place des appareils de radio. [...]
[...] L'assassin habite au 21 Stanislas-André Steeman (1939) Dans les années 30, Londres est terrorisé par un mystérieux assassin, qui a tué sept personnes en deux mois et demi. Il utilise toujours la même méthode : la victime marchant seule dans le brouillard londonien se fait fracasser le crâne à l'aide d'un sac de sable. L'assassin signe son méfait en abandonnant une carte de visite au nom de Mr. Smith. La police n'arrive pas à trouver de lien entre les différentes victimes, et le nom de Smith est extrêmement courant en Grande-Bretagne. [...]
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