Il s'agit d'une analyse du roman J'ai pas pleuré de Ida Grinspan. Cette analyse a pour but de se poser la question "Est-ce réellement de la littérature concentrationnaire ?" ou ne pouvons-nous pas plutôt ranger ce roman dans une autre "case" plus approprié. Cela en s'intéressant à la forme et au fond même de l'ouvrage.
[...] Donc à la lecture je l'ai plus perçu comme roman d'apprentissage, marquant l'évolution de la Petite Ida ,qu'elle dit avoir laisser à Auschwitz, à l'adulte accomplie qu'elle est devenue. Donc tout comme un roman d'apprentissage, le livre commence avec l'Héroïne qui est jeune, 11ans. Celle-ci mène une vie paisible et tranquille. Elle vit avec sa famille à Paris, ils entretiennent des relations chaleureuses avec tout les voisins. Ils vont souvent pique-niquer, vont au théatre . Au début de la guerre,ses parent l'envoient à la campage. Donc, elle ne vit pas réllement les montés des périls de l'occuaption. [...]
[...] Là-bas, elle mêne une vie normale. Le village fait plus que de l'adopté, il éfface toute les différences qui auraient pu apparaitre. Elle va à l'école ou elle est le chouchou de la prof. Elle à donc une vision assez naïve du monde et ne connait pas réellement la cruauté dont l'homme peut faire preuve. Cette vision du monde s'éffondre peu après son entrée dans la puberté avec la déportation de sa mère. C'est la première raffle où on arrête des femmes et des enfants. [...]
[...] Lorsqu'elle se fait arrêté, elle se refuse de pleurer pour ne pas donner ce plaisir aux gendarmes. ( D'où le tire du livre J'ai pas pleuré Et au cours du livre, cette graine de résistance va pousser de sorte qu'elle devienne qui elle est et qu'elle trouve son rôle dans la société. La première fois que l'esprit de résistance est évoqué clairement c'est à la page 38 où Ida qualfie de reflexe normal le fait qu'une femme ai fait évadé ces enfants, quelquesoit les répercutions sur le groupe ou elle même. [...]
[...] Ecrire pour ne pas que l'on oublie. Et à la fin d'un livre et de sa vie, elle a trouvé la paix et un équilibre. Il ne ressent pas de haine envers ses bourreaux, seulement de l'indifférence.Elle est marier, elle a une fille Elle à trouver son rôle, témoigner car comme elle le dit "l'oublier serait aussi intolérable que les faits eux-même" Donc est-ce que ce livre peut totalement être considérer comme un roman d'aprentissage ? Pas totalement, car il n'y a pas le même rapport entre l'auteur et le lecteur. [...]
[...] Analyse J'ai pas pleuré d'Ida Grinspan et Bertrand Poirot-Delpech Est-ce qu'il s'agit réellement de littérature concentrationnaire ? En effet, la parti à Auschowitz ne représentant qu'un quart du livre. Au point que les conditions de travail à Auschwitz ne sont décrites que dans 4 à 5 pages d'un volume de 240 pages. Le lecteur a plus affaire au sort d'êtres humains, à leurs souffrances ou à leurs joies, qu'à des faits ou des actes barbares. Même dans la partie où la vie à Auschwitz est décrite, on sera plus ému par le comportement individuel des camarades d'Ida et à leur remarquable solidarité, que révolté par les mécanismes de la persécution nazie. [...]
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