Analyse de quelques nouvelles ( Le Gueux, La Parure, L'Aveu ) faites par Maupassant visant à critiquer et exhiber la société bourgeoise de son époque à travers le réalisme.
[...] Le maire, n'échappe pas au regard accusateur de Maupassant, car au lieu d'aider « la cloche » le roue de coup et l'accuse à tort. Dans la nouvelle « La Parure » il critique également la petite bourgeoisie avec madame Loisel qui au lieu de se contenter du cadeau que son mari s'est débrouillé à obtenir se met en colère car d'après elle « Il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches. [...]
[...] Dans le recueil Contes du jour et la nuit publiée en 1884, Maupassant parle beaucoup de la société à son époque. Nous allons donc essayer d'expliquer la façon dont Maupassant perçoit la société du 19eme siècle à travers ses nouvelles. En commençant d'abord par présenter les différentes classes sociales illustrés puis, les reproches et les critiques que Maupassant donne de ces classes prouvant que c'est un recueil de nouvelles réalistes. Maupassant porte un regard critique et sévère sur la société de l'époque. [...]
[...] Enfin dans la nouvelle « L'aveu » on remarque aussi la façon dont Maupassant nous laisse juger par nous-mêmes les faits de la mère et de la fille qui afin de gagner un peu d'argent mettent leur humanité de côte malgré le fait qu'ils soient des gens assez posés avec assez d'argent pour se permettre toute sorte de dépenses. Pour conclure, on voit le réalisme des nouvelles dans la description péjorative des personnages et le regard critique que porte Maupassant sur la société de son époque. Il nous présente également une société où règne la loi du chacun pour soi et où les plus forts emportent au dépriment des plus faibles. Il réussit alors, à travers le réalisme de ses nouvelles, se moquer de la société de façon subtile en utilisant beaucoup de détails. [...]
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