Ce texte qu'on nous présente aujourd'hui est un poème écrit par Charles Baudelaire appartenant à la section “tableaux parisiens” des fleurs du mal écrit en 1861. ce poème fait la description de la grande ville. afin d'analyser ce poème en profondeur nous allons procéder à une analyse linéaire
[...] V.2: Comparaison vague= des silhouettes sans dire "vaguement" adoucit l'adj péjoratif "ridicules". V.3: "Terribles"= insistance en début de vers. "singuliers":souligne leur différence. "somnambules" fait référence à une démarche hésitante comme celle des dormeurs. V4: "Dardant" racine "dard"= pointe lançant mais la caractéristique " pointe" s'oppose à " on ne sait ou" et aussi au "globes ténébreux" qui constituent une métaphore pour désigner les yeux des aveugles qui ne sont pas noirs (ténébreux) mais qui ne voit rien ténèbres"). V5.8: "Leurs yeux": en début de vers mis en évidence. [...]
[...] évoque la souffrance V.9: "le noir illimité". souligne la cécité V.10: "silence éternel "référence à la mort V.11: opposition "silence" bruit "chantes ris et beugles" (gradation dans le bruit et la vulgarité) "autour de nous" le locuteur s'associe aux aveugle V.12: Vision péjorative de la cité présentée comme un lieu de débauche V.13: "Vois" = impératif "contemple" (vue) adressé et "mon âme" comparaison poètes/aveugles "je me traîne aussi". Vision péjorative du poète = "traîne" "hébété". souffrance "je". V.14: Le poète semble les envier car la question laisse entendre qu'il n'y a rien à chercher au ciel = c'est l'absence de foi ce qu'on appelle le spleen. [...]
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