Ah l'infâme ! ah le traitre ! quel scélérat ! C'est ainsi qu'il m'assassine. Non content de me traîner à travers toute la ville dans un sac, il a également besoin de m'effrayer de cette manière ?
[...] » (imitant Scapin). Quelle rage C'est bien la première fois que je me fais battre par mon propre serviteur. L'on peut admirer sa fierté et son héroïsme, en plus d'être un truand, il est fuyard. Quel manque de courage Dois-je comprendre que ce traître rêvait de me frapper chaque nuit ? En tout cas, ses commentaires n'ont fait que grandir mon anxiété. (Il se met à courir en rond). Il me faut désormais de nouveau fuir et me cacher, avec un tel raffut, Scapin n'aura pas manqué d'attirer les soldats à moi. [...]
[...] Sujet d'invention - Acte III - Scène 2 « GÉRONTE. Ah l'infâme ah le traitre quel scélérat C'est ainsi qu'il m'assassine. Non content de me traîner à travers toute la ville dans un sac, il a également besoin de m'effrayer de cette manière ? Ce jeune homme n'est qu'un pendard, un insolent Me battre ainsi, moi qui l'espace d'un instant espérais pouvoir compter sur lui. Même en période de fâcheuse posture, je ne peux me reposer sur ce vil scélérat. [...]
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