Rédaction d'une fiction

Résumé du document

Un jeune homme vivait avec sa grand-mère depuis son plus jeune âge. Ils vivaient tous les deux dans un chalet dans les Alpes. Ses parents travaillaient beaucoup. Son père était un industriel qui voyageait beaucoup entre la France et l'Italie. C'était un homme très brillant, grand, mince, il parlait couramment plusieurs langues et son entreprise prospérait dans ce renouveau économique qu'offrait les années 1960. Mais il était difficile pour Peter d'avoir des relations proches avec lui. C'était un vrai courant d'air dans le sens où à peine était-il arrivé dans ce chalet grand-maternel dans lequel vivait ce jeune homme.

Extraits

[...] C'était une lampe très ancienne d'une conception fine et entièrement en or. Jusqu'à une certaine époque, Peter était plutôt porté vers les matières scientifiques plus jeune mais au fur et à mesure qu'il grandissait, il se découvrait une passion pour les matières littéraires et notamment pour l'écriture. Un jour, il découvrit dans un vieux tiroir des lettres enflammées qui s'adressaient à sa mère et même s'il était gêné de lire ces lettres d'amour dont sa mère était l'objet, sa curiosité l'emportait. [...]

[...] Ils vivaient tous les deux dans un chalet dans les Alpes. Ses parents travaillaient beaucoup. Son père était un industriel qui voyageait beaucoup entre la France et l'Italie. C'était un homme très brillant, grand, mince, il parlait couramment plusieurs langues et son entreprise prospérait dans ce renouveau économique qu'offrait les années 1960. Mais il était difficile pour Peter d'avoir des relations proches avec lui. C'était un vrai courant d'air dans le sens où à peine était-il arrivé dans ce chalet grand-maternel dans lequel vivait ce jeune homme. [...]

[...] Autant son « vrai »père était un philistin, autant ce mystérieux auteur semblait un esprit fin et cultivé. Parallèlement, dans un livre d'histoire, il vit une photo de cette fameuse lampe. C'était une collection de lampes qu'Hitler avait offertes aux officiers qu'il respectait le plus, les fameux S.S. Alors, Peter alla voir sa grand-mère, et cette dernière, les yeux pleins de larmes, débordant de lointains souvenirs qui resurgissaient soudainement comme un vague qui vient de très loin, lui dévoila la vérité. [...]