littérature, écriture d'invention, fin inattendue, récit
Le soir, après une dure journée de travail intensif, Charles Montette rentre chez lui épuisé. Quand il passa la porte, il vit sa femme tourner en rond dans le salon. Elle avait l'air très inquiète. Elle était tellement préoccupée par quelque chose qu'elle ne remarqua même pas la présence de son mari.
[...] Elle s'approcha du bord et le vit, Paul, son fils flottait à la surface, deux balles tirées au niveau de son estomac. Madeleine se mit à crier entre deux sanglots et son compagnon décida de l'imiter pour laisser sortir sa rage. Après plus d'une heure à rester là. Ils savaient tout deux qu'ils n'arriveraient pas à surmonter cette épreuve. Madeleine lui dit : « Je t'aime. » Charles lui répondit : « Moi aussi. » Ils se prirent par la main et sautèrent tous les deux dans l'étang afin de retrouver leur fils bien-aimé. [...]
[...] » Soudain elle leva la tête et vit Charles. Elle lui répondit par un mot. « Paul ». Et elle fondit en larmes. Subitement, l'homme s'aperçu que son fils n'était pas là, assit, à l'attendre pour lui dire bonsoir comme à son habitude. Charles dit : « Où est Paul ? » Madeleine déclara : « Il est parti joué dans le champ ce matin, mais il n'est jamais venu manger son repas. Je suis même allée voir mais il n'était pas là-bas. [...]
[...] Dans la journée, les habitants décidèrent d'organiser une battue. En rentrant chez eux, ils trouvèrent le collier favori du petit garçon et un morceau de tissu appartenant à son vêtement. Chaque jour passé, les espoirs étaient de plus en plus faibles mais Charles et sa femme ne perdaient pas foie. Charles disaient tous les soirs à sa femme : « On va le retrouver. » Puis un après-midi, il perdit tout espoir. Madeleine et lui étaient à l'étang de leur petit village. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture