Gloire de mon père, Marcel Pagnol, Joseph, Provence, grandes vacances, autobiographie
Tout d'abord, l'auteur de ce livre, Marcel Pagnol, est né le 28 février 1885 à Aubagne et il nous en fait part dans son récit. Le lecteur visualise d'ailleurs assez bien les descriptions de la Provence de Marcel Pagnol.
« La Gloire de mon Père », roman autobiographique écrit en prose, fut publié en 1957 et nous décrit l'enfance du narrateur.
Dans ce livre, Marcel Pagnol nous raconte son enfance ainsi que l'origine de ses parents. Son père Joseph Pagnol était instituteur. Il a été nommé à l'école du « Chemin des chartreux ». La famille s'installe donc dans les environs de Marseille puisque à l'époque, les instituteurs et leur famille sont logés dans les écoles.
[Sa tante, son oncle, et ses parents] décident de louer une maison de campagne pour y passer les vacances.
[...] Cela veut peut-être dire qu'il a pris sur lui ou alors que la situation lui semblait normale. Je pense qu'il était habitué de voir ce genre de choses. Peut-être qu'à l'époque, les gens étaient habitués à faire ça eux-mêmes. Aujourd'hui, on va au supermarché et tout est prêt, tout est déjà emballé, on n'a plus qu'à payer. Je n'ai pas trop aimé justement cette supériorité de l'homme face à un animal sans défense. Ce passage ne m'a pas trop plu en fait maintenant que j'y réfléchis. [...]
[...] Dans ce livre, Marcel Pagnol nous raconte son enfance ainsi que l'origine de ses parents. Son père Joseph Pagnol était instituteur. Il a été nommé à l'école du Chemin des chartreux . La famille s'installe donc dans les environs de Marseille puisqu'à l'époque, les instituteurs et leur famille sont logés dans les écoles. Tous les jeudis (le jeudi était le jour sans école à l'époque) et tous les dimanches, il fait une balade dans le parc Borély, au bord de l'étang avec sa tante. [...]
[...] En fait, je crois que j'ai bien aimé ce livre parce qu'il m'a fait sentir des émotions, alors qu'au départ, je n'aime pas du tout lire. Ça m'a donné la même sensation que lorsque je regarde des films au cinéma. Je me suis surtout senti comme le personnage principal, Marcel, parce que tous les garçons de tous les pays du monde ont toujours les mêmes problèmes. Et pourtant, ce livre est vieux, mes parents n'étaient même pas nés quand Marcel Pagnol l'a écrit. C'est plutôt le moment où sont nés mes grands-parents. [...]
[...] J'étais un peu le héros de tout ce livre, tout ça parce que j'arrivais à ressentir les mêmes choses que le personnage. En même temps, cela m'a fait voyager dans le sud de la France, cela m'a fait sortir de chez moi, alors que je suis resté dans ma chambre. C'était une sensation agréable. Comme quoi, les livres, ça nous emmène vraiment dans notre imagination. Peut-être que plus tard, lorsque je serai plus grand, je repenserai à ce livre lorsque je voudrai me rappeler mon adolescence. [...]
[...] Je m'attarde sur ce passage, car il m'a particulièrement marqué. Je trouve qu'à son âge, il regarde déjà des choses assez brutales. Il est vrai qu'aujourd'hui, des films ou des séries montrent des choses horribles, mais on sait que cela est du cinéma. Ce n'est pas vrai. À sa place, je pense que j'aurais été traumatisé. Il a écrit cette phrase sans décrire ses émotions, il ne partage donc pas ses sentiments. Ou alors il a justement du mal à les exprimer tellement cette scène est brutale. [...]
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