Ecriture d'invention, lettre d’homicide, mort de sa femme, lettre, éclairement
Eric, 27 ans, vivait seul depuis maintenant 2 ans. Depuis le meurtre de sa femme, en fait. Un meurtre non prémédité selon la police. Une personne qui n'avait pas pu être identifiée avait lancé une attaque biochimique dans l'immeuble du travail de sa défunte épouse. Qui aurait pu penser que le matériel tant nécessaire à l'évolution des laboratoires de l'entreprise causerait sa perte ?
[...] Enfin, tuer une personne par amour, ça, il ne le comprenait pas mais il pouvait l'envisager. Mais tuer tout un bâtiment, ça, il n'osait même pas l'imaginer. Une cinquantaine de personne étaient donc mortes à cause d'un seul homme. Lui. Il était toujours vivant, lui, décidemment, la vie était injuste. Après tout, il ne méritait pas plus qu'un autre de vivre, surtout maintenant qu'il savait ça. C'est donc en ayant cette dernière pensée : qu'il porta le pistolet qu'il gardait depuis des années dans un tiroir, comme au cas où, sur sa tempe. [...]
[...] Cette lettre est donc une lettre d'adieu. Lisa Cette lettre était donc une sorte d'éclairement. Il comprenait tout maintenant. Toutes ces années à se demander ce qui s'était réellement passé, qui avait pu faire cette attaque, pour quelles raisons auraient pu se passer différemment si seulement il avait eu cette lettre, s'il ne l'avait pas rangée, s'il ne l'avait cataloguée comme sans importance parce que venant de son ex maladivement jalouse. S'il l'avait lu, il aurait pu aller voir la police, tout leur expliquer, leur montrer la lettre. [...]
[...] Lettre d'homicide Eric ans, vivait seul depuis maintenant 2 ans. Depuis le meurtre de sa femme, en fait. Un meurtre non prémédité selon la police. Une personne qui n'avait pas pu être identifiée avait lancé une attaque biochimique dans l'immeuble du travail de sa défunte épouse. Qui aurait pu penser que le matériel tant nécessaire à l'évolution des laboratoires de l'entreprise causerait sa perte ? Depuis, Eric s'était habitué à vivre seul, il n'avait pas pu trouver quelqu'un d'autre, il n'avait pas pu oublier sa femme. [...]
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