Un Sac de billes, Joseph Joffo, lecture, Seconde guerre mondiale, juif, shoah, personnage
À la façon de Jules Valles, racontez comment on vous a obligé à lire un livre que vous ne vouliez pas lire et que vous avez lu et apprécié. Raconter comment le livre vous a captivé, que vous avez accroché et finalement adoré.
[...] Un Sac de billes - Joseph Joffo (1973) À la façon de Jules Valles, racontez comment on vous a obligé à lire un livre que vous ne vouliez pas lire et que vous avez lu et apprécié. Raconter comment le livre vous a captivé, que vous avez accroché et finalement adoré. Il y a quelques mois de cela, ma mère est venue me voir dans le salon pendant que je jouais à la console. Elle s'arrête devant l'écran, et me demande, avec une voix un peu trop calme (je connais bien la voix de ma mère, je sais bien ce que ça veut dire quand elle est trop douce) : « Tu sais ce que j'ai retrouvé sous ton lit en faisant le ménage ? [...]
[...] J'étais le premier étonné L'histoire devient en effet de plus en plus captivante : on a envie de savoir ce qui se passe, comment ils vont se sortir de leurs difficultés, si leur bonheur à Menton va durer, s'ils vont revoir les membres de leur famille . J'ai adoré rentrer dans une histoire et me laisser porter par le narrateur. Et au final j'ai remercié ma tante de son cadeau, et dans ma tête je remercie ma mère de m'avoir obligé à lire ce livre. Mais s'il vous plaît, ne lui dites pas Elle serait bien capable de recommencer . [...]
[...] Je ne sais pas comment il fait, mais il arrive toujours à montrer ce qu'il y a de drôle dans une situation plutôt triste ou horrible. Plus ça allait, et plus je me suis mis à aimer les personnages. C'est cela qui me plait parfois dans les romans : c'est quand on peut s'identifier, ou quand l'auteur nous fait vivre les pensées et les sentiments des personnages. Joseph Joffo est très fort pour ça. Dans son livre, on comprend pourquoi Maurice ou Joseph agissent comme ils le font, on comprend comment ils se sentent, on a l'impression de vivre leur expérience nous-mêmes. [...]
[...] C'est un cadeau de Noël de ta tante, et tu le laisses sous ton lit prendre la poussière. » Je vous passe le savon que je me suis pris . Après cinq bonnes minutes à me faire enguirlander, j'écope de trois punitions : 1°, couper la console ; 2°, commencer à lire le satané bouquin ; 3°, appeler tatie quand j'aurai fini de le lire et la remercier pour son cadeau. Je peux dire que c'est à reculons que je l'ai commencée, cette lecture Déjà le titre me paraissait ennuyeux. [...]
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