Résumé de l'Ebook:
[...] Aucune, car tous les deux enfoncent l'être humain dans un processus régressif, réducteur d'ambitions, accompagné de perte de l'estime de soi. La dignité de l'individu du coup s'enfonce dans ses talons. Il perd inexorablement tous ses apprentissages, toutes ses connaissances, bref tous ses repaires. C'est à peine s'il connaît encore son propre nom. Pour cause, il est devenu l'ombre de son ombre, la peine de sa peine. Bref ! En fait, pas un seul homme politique au pouvoir aujourd'hui, n'arrive à la cheville du grand Révolutionnaire, l'aïeul de mon père et les pères fondateurs de notre République. [...]
[...] Le roi tente de freiner le mouvement réformateur, mais Paris se révolte. Pendant leur mandat, jusqu'en octobre 1791, les députés transformeront l'Etat, s'adaptant au profond changement de mentalité de la société française. Le roi qui essaye un moment de fuir la France, est finalement forcé de ratifier une Constitution qu'il désapprouve mai Ouverture des états généraux juin les députés du tiers état se constituent en Assemblée nationale juin La salle de l'Assemblée nationale à Versailles est fermée par le roi ; les députés jurent de ne pas se sépa- 14 rer avant d'avoir fondé une Constitution (serment du jeu de paume, rédigé par l'abbé Sieyès.) 27 juin La noblesse et le clergé se rallient au tiers états juillet L'assemblée nationale devient l'Assemblée constituante. [...]
[...] Et vraiment, il y a de quoi faire ! En priorité, il leur faudrait se défaire de cette carapace d'orgueil qui leur sied très mal, puisque visiblement ils sont très très loin de se rapprocher des Dieux de l'Olympe étant donné qu'ils n'en ont pas la carrure. A mon sens, à s'emparer ainsi de devises d'un pays, ils s'apparenteraient plutôt aux bandits de grand chemin, ceux-là mêmes qui méritent d'être condamnées sans aucune forme de pitié Et, quand je pense à toutes ces bêtes ainsi sacrifiées, sans aucune forme d'assistance, je ne peux m'empêcher de penser à ces braves chiens qui ont partagé mon enfance et je m'en vais de ce pas vous parler de nos fidèles compagnons. [...]
[...] Là, je voudrais juste m'adresser personnellement à ceux qui ont déjà fait leurs essais, qui ont échoué, et qui veulent encore y retourner. Je voudrais simplement leur dire : Chers superficiels, à l'aube des élections présidentielles, vos candidatures, croyez-moi, sont loin d'être providentielles. C'est pourquoi je me permets de vous rappeler, si toutefois vous l'avez déjà oublié, que votre bilan à vous tous réunis, quelles que soient vos positions, tel qu'il se présente aujourd'hui est truffé de malfaçons, bondé d'erreurs, revêt une forme de leurre. C'est hélas, je crois, la source de votre profit, la cause de mon malheur. Que dis-je ? [...]
[...] L'année où je perdis maman, l'un des piliers de ma vie, j'étais venue résider en France et allais donc me séparer de ma maison de la rue Robespierre à l'île de la Réunion en la vendant. Cette demeure était emplie de souvenirs intimes de naissances d'enfants, de baptêmes, de communions, de retrouvailles familiales. J'allais donc en me séparant de ma maison, me séparer de souvenirs de gens que j'aimais profondément. Le titre Je m'appelle Marat et je vis à la rue Robespierre je l'avais en tête depuis cinq années environ. [...]
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