Résumé de l'Ebook:
[...] Pendant ce temps Césarin gueulait tout ce qu'il savait (Vexé qu'il était de participer à la conversation, la tête ailleurs, souhaitant de toutes ses forces, opérer un tête à queue et qu'enfin ses pieds touchent terre Mais Sarah toute à ses civilités ne lâchait pas prise et qui sait si une fois sur pied, le casse-croûte n'allait pas fuir ) Pépine dit, bon je prends le sel et je ferme la porte en partant. Sarah son paquet sous le bras prenait la direction de la chambre et dit : Tchao ! Pépine ! [...]
[...] Le garde répondit : Bon ! Puisque c'est comme ça, on va la voir tout de suite Je crois que tous les deux réunis, ça va être beau la raclée que vous allez vous prendre Ca va nous faire de la distraction Allez venez, on va retourner voir Sarah ! Qu'on rigole ! 160 Le père : Ouais ! Parce que c'est une femme, elle se croit tout permis et de toutes façons toi le garde, tu dois empêcher les bagarres ! [...]
[...] A force de soulever des problèmes on se crée de ces ennuis Selon Sarah : 120 C'est des coups à se mettre des cassements de têtes plein les bras ! Nous conseillerait-on de réfléchir un peu moins ? Sarah se disait que demain, à la lumière du jour, on aurait tout le temps pour reconsidérer cela et que dans le pire des cas c'est encore elle qui remettrait tout en ordre Elle s'arrêta au milieu de la rue et dit : Mon Dieu ! [...]
[...] Le curé, il sait maintenant que tout ça que je fais dehors avec les garçons, c'est pas son affaire Ou alors, il me dit avec qui c'est qu'il couche ! Pourquoi qu'il prétend qu'il a fermé son robinet A quoi ça sert de mentir Tout le monde, il sait qu'il s'envoie sa bonne et peut-être deux ou trois autres, que j'ai mon idée Que celles-là, on dirait pas, elles auraient des problèmes avec la conscience, que seul le curé, il peut faire les réparations Que moi, je sais où il range ses outils Ah ! [...]
[...] Ca oui ! Il est beau Heureusement j'ai toujours été mariée 81 Des enfants sans père, moi jamais ! Dieu nous préserve ! Nous retiendrons au passage que pour Sarah, les abrutis n'avaient pas le droit de procréer et que les pères de famille devaient naturellement endosser les paternités issues des frasques de ces dames et de leurs amants Du moment que ça ne se savait pas et que tout rentrait dans l'ordre, qui trouverait à redire ? Le devoir de mémoire incombait aux porteuses de fruits adultérins. [...]
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