Résumé de l'Ebook:
[...] La biopsie musculaire a révélé d'importants changements morphologiques, sans qu'aucun ne soit caractéristique, et d'autres tests (niveaux de sérum dans les enzymes musculaires, électromyographie, tests avec 25 exercice et spectroscopie nucléaire de résonance magnétique) n'ont été d'aucun secours. L'importance des tests de laboratoire peut s'avérer lorsqu'il s'agit d'éliminer des conditions qui ressemblent à la fibromyalgie. Déclaration de Copenhague The Lancet 12 septembre 1992. Avec la déclaration de Copenhague, ces personnes auront maintenant une meilleure chance que leur condition soit acceptée par les gouvernements et les compagnies d'assurances parmi les causes justifiant les prestations d'invalidité et la retraite anticipée a déclaré Finn Kamper-Jorgensens, de l'Institut d'Epidémiologie Clinique du Danemark, Président du Comité du Consensus. [...]
[...] 156 La démarche que j'ai entreprise n'est pas sans douleurs et sans efforts mais je dois aussi remercier mon entourage familial et médical pour leur aide et leur compréhension. C'est une remise en question globale, qui passe par l'acceptation de la maladie pour ensuite pouvoir la combattre. C'est aussi accepter que la fibromyalgie a un caractère psychosomatique (comme beaucoup d'autres maladies telles que le cancer par exemple) et qu'il faille parfois se donner les moyens de se poser les bonnes questions. [...]
[...] Je suis déçue de la réaction de mes amis et connaissances : j'ai droit à des réflexions irréfléchies et blessantes. On me donne des conseils, on me juge : Je ne suis pas la seule à souffrir, etc C'est la bonne santé apparente qui en est la cause . Je ne suis pas maigre mais c'est beaucoup de cellulite. Je ne peux plus manger beaucoup de bons fruits et de légumes (gastrites). La fatigue m'empêche de vivre Quand elle me prend, je ne suis pas capable de récupérer un état satisfaisant avant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. [...]
[...] Mon médecin ne sait pas quoi faire pour me soulager car on a tout essayé. Actuellement, pour tout traitement, je prends jusqu'à 6 comprimés de dextropropoxypheneparacetamol-cafeine par jour comprimés d'extrait hydro-alcoolique sec d'aubépine et de mélisse, lactate de calcium pentahydraté et thiosulfate de magnésium) pour la nuit, du phloroglucinol lyophilisat si besoin, et des suppositoires de tartrate acide de potassium et bicarbonate de sodium car j'ai fait une allergie (vomissements et éruption cutanée). Je veille à mon alimentation, et je ne suis pas en surpoids, car j'ai repris 7 kg des 13 que j'avais perdus lors de mon intoxication médicamenteuse. [...]
[...] Je refusais. Ayant reçu cette nouvelle comme un coup de poignard, j'étais en état de choc et je décidais d'arrêter tout le traitement, ce que je fis ne prévoyant pas les effets de sevrage qui furent terriblement douloureux. J'étais en hypotension, en hypoglycémie, en hypocalcémie et je finis par une crise de spasmophilie terrible, mais je ne voulais pas aller à l'hôpital. J'ai fait promettre à mon mari de ne pas m'y envoyer car j'avais trop peur d'y rester (le médecin m'ayant dit lors de ma dernière consultation que s'il n'arrivait pas à me convaincre, il convaincrait mon mari et qu'il avait le pouvoir de le faire). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture