Ici, je laisserai presque complètement de côté l'intoxication à l'oxyde de carbone par les gaz d'échappement des voitures, ce que j'ai détaillé dans l'ouvrage cité ci-dessus, mais je développerai davantage l'intoxication chronique par le chauffage domestique.
Ceci est d'autant plus important qu'il est maintenant démontré que les troubles sérieux peuvent être produits par des doses d'oxyde de carbone si faibles qu'elles peuvent être détectées par aucun des appareils les plus modernes. On m'a même affirmé qu'au Danemark, on utilise des chiens spécialement dressés pour cette détection. Ils se montrent plus sensibles que les moyens techniques les plus perfectionnés.
A- Dose très faible mais continue tout l'hiver.
Voici quelques-uns des signes d'intoxication :
Une certaine sensation de gêne quand le chauffage fonctionne : gêne respiratoire surtout mais pas toujours car parfois, c'est seulement un léger malaise général indéfinissable.
Un vieux préjugé fait souvent attribuer cette gêne au dessèchement de l'air par le chauffage central.
Si l'air était vraiment « desséché », l'eau qui le quitterait se déposerait en gouttelettes comme une rosée sur les meubles. C'est tout l'inverse qui se passe et l'on doit plutôt considérer que la tension de la vapeur d'eau est modifiée (de même que la pression de la vapeur dans une cocotte minute est fonction de la température, ceci en supposant évidemment une aération très faible de la pièce).
Ajoutons qu'il existe des régions très sèches mais assez éloignées du désert et séparées de lui par une barrière de montagnes, de telle sort que l'air y arrive dépouillé des poussières de sable. Il en est ainsi de la ville de Tizi-Ouzou en Kabylie (Algérie). Dans toute cette région, l'air venant du Sahara est si sec en été que si l'on roule en auto la bouche entrouverte, les muqueuses de la langue et des joues picotent par dessèchement. Or, cette situation, loin d'être cause de troubles respiratoires, guérit au contraire les bronchites chroniques et beaucoup d'asthmes. Ce dernier fait est à rapprocher du traitement actuel par un séchoir à cheveux des plaies infectées. Il faut un modèle qui possède une position « froide » sur ses commandes. On alterne cette position et la position « chaude » sur un rythme qui dépend de la distance entre le séchoir et la plaie. Cette distance est fonction de la surface de la plaie (...)
[...] Dose très faible, mais continue tout l'hiver Pour une dose un peu plus forte, toujours constante Dose chronique assez forte Bouffées denses sur un fond chronique 1. Arrêts aux feux rouges 2. Au Québec surtout, se méfier des demi-sous-sols Chapitre II Traitements de toutes formes d'intoxication chronique à l'oxyde de carbone. Oxygène Carbogène Fer Chapitre III Les trois pièges du chauffage central par combustion Le thermostat 2. Le microclimat de l'emplacement de la maison 3. La braise de bois, un danger au moins égal au charbon 4. Se méfier des vieilles maisons 5. Perméabilité du plâtre, enchevêtrement de cristaux 6. [...]
[...] Le plus souvent, il vous traite par neurotropes ou psychotropes et de plus, insiste pour que vous reveniez Et si l'on se plaint de pertes de mémoire, de sensations de gêne respiratoire quand le chauffage central fonctionne, que l'on repense à la possibilité d'intoxication chronique à l'oxyde de carbone. Aspirateur de cheminée Le totale des surfaces réfléchissant le vent étant plus grand que la surface de section de la cheminée, le courant ascendant, à la sortie de celui-ci, sera plus fort que le courant extérieur descendant. LES DETECTEURS D'OXYDE DE CARBONE. Comment savoir si l'ennemi inodore et invisible vous cerne ? Il existe des plaquettes qui changent de couleur en cas de présence d'oxyde de carbone. Elles ne coûtent pas cher et sont d'un grand secours. [...]
[...] Mais dans ces deux cas, il faut tenir compte d'un phénomène supplémentaire : les réflexes qui tendent à régulariser l'arrivée de l'oxygène dans les tissus, comme une vasoconstriction des artérioles, s'opposent à ces traitements. Ce n'est donc pas de l'oxygène pur qu'il faut respirer mais autant que possible du carbogène, qui contient une petite proportion de gaz carbonique activant la respiration. On favorise la formation de nouveaux globules rouges pas des médicaments à base de fer et un peu de cuivre, ce dernier en oligo-élément. Il aide à la fixation du fer sur l'hémoglobine. III LES TROIS PIEGES DU CHAUFFAGE CENTRAL PAR COMBUSTION. [...]
[...] La réponse est pourtant évidente. Plus le bois flambe fort, plus le tirage par-dessus les portes fait entrer l'air extérieur à moins vingt degrés qui se mélange à l'air de la pièce. Donc tout poêle à combustion doit avoir sont alimentation en air reliée à l'extérieur par un tuyau calorifugé. Il y a double avantage : on ne mélange pas l'air froid aspiré de l'extérieur à l'air réchauffé de la pièce. De plus, s'il y a du refoulement, les gaz de combustion seront rejetés à l'extérieur au lieu d'envahir la pièce. [...]
[...] Le chauffage ionisant. J'ai conseillé de remplacer le chauffage à mazout, charbon ou gaz, par le chauffage électrique par radiation à huile parce que c'est le mois cher. Mais il y a plus sain encore : le chauffage électrique par radiation à résistance chauffé au rouge, avec ventilateur derrière. En effet ce mode de chauffage ionise l‘air négativement parce que tout métal chauffé au rouge émet des électrons. Le ventilateur pousse cet air ionisé suffisamment rapidement pour que l'air ambiant n'ait pas eu le temps d'aborber la négativité. [...]
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