Durant plusieurs mois, la police retrouva plusieurs cadavres. Tous avec des messages différents. L'un disait "Une femme c'est plainte" l'autre "La police lui montre donc le cadavre de la victime ", puis "Dans la résidence de cette femme". Enfin, il y en eut une vingtaine. Les enquêteurs durent faire appel à un vrai spécialiste de ces cas spéciaux pour tenter de trouver ce que voulait signifier tous ces messages. Il découvrit que l'assemblage de tous ces indices formait une histoire qui retraçait tous les meurtres de l'assassin. Il pensa que le meurtrier voulait faire connaître son oeuvre en la faisant découvrir ligne par ligne sur chacune de ses victimes, plutôt qu'en (...)
[...] Cette fois il n'y avait pas d'objet spécial à côté du cadavre, mais il y avait tout de même un message Mise en garde à vue pour plusieurs jours Sûrement que cette série de meurtres était loin d'être terminée. Alban reconnut le papier utilisé pour imprimer ce message. Tout à coup, il se rappela que le jour où il s'était rendu chez Irma, elle avait voulu faire croire qu'elle était muette et donc, l'avait écrit sur un papier. C'était exactement le même ! On envoya des agents dans la maison d'Irma afin de retrouver ce papier. [...]
[...] Toutes les forces de police avaient été convoquées afin d'arrêter ce terrible meurtrier. Dans l'espoir de découvrir d'autres indices, Alban commença à lire les 130 messages laissés par le tueur sur les cadavres des victimes assassiné dans l'immeuble. Malgré leur investigation, les enquêteurs n'arrivèrent pas à trouver l'assassin. Une personne avait tous de même été placée sous surveillance policière. Ce suspect était l'un des cousins d'Irma. Il faisait régulièrement appelle à elle pour tenter de rapprocher tous les membres de leur famille. [...]
[...] Toutes les unités de police se mirent à la recherche de cette psychopathe. La police finit par la retrouver dans une péniche, elle fut arrêtée et escortée jusqu'au commissariat. Les deux jours suivants, alors qu'elle était enfermée, aucun crime n'eut lieu. Elle fut ensuite amenée au palais de justice. Là commença l'attente qui fut longue, mais le verdict tomba : le juge dit ne pas pouvoir prendre la décision de la faire emprisonner tant qu'il n'était pas certain qu'elle n'était pas victime de troubles psychiatriques. [...]
[...] Pour clore le jugement, le médecin affirma qu'il était totalement impossible que sa patiente commette le moindre crime dû à sa peur des esprits maléfiques, des âmes ou même du diable. Irma fût donc jugée innocente, malgré les contestations de l'adjudant qui avait arrêté cette femme, puis conduit dans un hôpital psychiatrique. Malheureusement, une heure après son entré dans l'hôpital, elle fut ligotée, torturée et assassinée. Ce triste événement prouva à Alban l'innocence d'Irma. Cette fois, aucun message n'avait été laissé. Mais les caméras de l'hôpital avaient filmé la scène. [...]
[...] Arrivée devant chez elle, ils remarquèrent une pelle posée contre le portail. Immédiatement, chacun des agents de police sortit son pistolet au cas où le tueur était dans la résidence de cette femme. Avec une très grande discrétion, ils entrèrent dans la maison. A l'intérieur, ils découvrirent le cadavre de la cousine Mireille. Cette fois, il y avait un parapluie à côté de la victime, et à nouveau un message. Il était écrit sur celui-ci : Ce jour-là, un meurtre avait été commis Le parapluie devait sûrement appartenir à la prochaine victime La police était donc à la poursuite d'un tueur en série. [...]
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