Résumé de l'Ebook:
[...] dit Jaoven exaspéré par le ton autoritaire de l'homme, nous sommes des étrangers, soit ! Nous avions pénétrés dans votre monde par le biais du canal, soit ! Seulement, nous nous sommes perdus et nous recherchons désespérément la sortie. Nous avions également 111 dans cette aventure, perdu nos sœurs et nous les cherchons. L'homme le regarda attentivement en baissant ses lunettes sur son nez. Jaoven vit alors avec effarement que les yeux du bonhomme étaient d'une nuance glauque striée de rouge. [...]
[...] Elle ressortit de la pièce avec prudence. Une fois dehors, elle s'en fut vers la chambre où dormait Issolda, la forçant à se réveiller. Celle-ci dormait d'un sommeil profond, encore mal éveillée, elle regarda son amie avec étonnement. Pourquoi me déranges-tu ? Que se passe-t-il ? Entends-tu ce qui se passe ? Entends-tu ces bruits ? Tous ces cris ? Quel bruit ? Tu es folle de me lever en sursaut tout ça parce que tu as entendu du bruit ! [...]
[...] Il roulait deux fois plus vite. Le seul problème venait des accus pas encore chargés. L'énergie solaire agirait en temps et en heure, il suffisait d'être patient. Quelques minutes suffirent pour gonfler les accumulateurs. Le véhicule se mit en marche. Ils montèrent à bord. Nikka, tu nous conduis, prends tous les raccourcis, lorsque tu arriveras en vue de la grande mare arrête-toi. Ils sont partis pour le fort juste au milieu de la baie. Aie confiance, nous allons bientôt nous débarrasser de ce tyran. [...]
[...] Etait-ce cette vieille femme ? Pourquoi la battait-elle ? Se demanda Jaoven. Qu'avait-elle fait de mal ? Des fentes aux volets lui permirent de voir, d'embrasser la situation d'un coup. Une femme laide comme un pou, assise dans une bergère, tenait une badine dans la main avec laquelle elle fouettait l'enfant. Celle-ci gémissait en poussant une drôle de plainte aiguë à chaque fois que la baguette lui cinglait l'épaule. Curieusement, elle restait immobile, les yeux secs, sans tressaillir près de la bourrelle. [...]
[...] Ils avancèrent Quelque chose d'étrange, d'innommable se faufila devant leurs yeux. Ils furent incapables de réaliser ce que ça pouvait bien être C'était une sorte de palan qui tournait, se baissait, se relevait Ils restèrent sans voix, se regardèrent. Aucun son ne sortit de leurs bouches. Ils voulurent faire marche arrière, hélas ! Trop tard ! Une herse retomba derrière eux. Ils paniquèrent d'emblée. Hé là ! s'écria Marvin, comment allons-nous revenir ? C'est quoi ce truc ? Ajouta Issolda. Qu'est-ce que cela veut dire ? Renchérit Calixte. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture