Résumé de l'Ebook:
[...] Un homme apparaît dans le couloir, il est bien noir, mais ne ressemble pas à la photo. - Qui êtes vous ? - Ousoul Mahoula, je suis le frère de madame Bathour. - Oudoue Mahoula est votre frère ? Où est-il ? 54 - Je ne sais pas, je suis venu de Belgique car ma sœur m'a dit qu'il a des soucis. Mais je ne l'ai pas vu ! - Très bien, vous allez suivre mon collègue au poste pour une déposition. Vous aussi madame ! - Mais je ne peux pas ! [...]
[...] Il note puis continue sa lecture. Après plus de deux heures, il a rempli la feuille, et fumé trois cigarettes. Il se lève, s'étire et va prendre une bière. Presque 18 heures, et il n'a encore pas tout vu. Il referme le dossier et reprend celui de son affaire qui l'intéresse un peu plus. Il reprend les fiches des clientes de son suspect, et réinscrit les notes des femmes qui l'ont appelé, il ne reste plus que celle de cette Marjorie. [...]
[...] Je crois que je tiens un truc ! Une page apparaît à l'écran : - Mon journal : commencé le 5 décembre 1999. Cela fait trois mois que Christian est parti, je ne comprends toujours pas pourquoi ! Pourquoi m'a t'on enlevé l'homme que j'aime ? Pourquoi ce camion a foncé sur lui ? Pourquoi je n'étais pas avec lui ? - Ben dis donc, c'est vachement gai ! 18 Denis vient de le rejoindre : - Alors ? - C'est son journal intime. [...]
[...] Elle avait un tatouage sur l'épaule. Ils sont quatre bandits. Je vois Mr Bernard Sorel et monsieur, je ne vois pas bien les deux autres. Je vois une prison : une chaise électrique. Je vois encore deux femmes, à l'étage et un enfant. Mr Bernard Sorel est le chef. Il porte un tatouage sur le bras une femme nue Axel ! Il y a un monsieur Axel Moreau. Le commissaire souffle à l'oreille de Denis : - Vous lui avez dit ? [...]
[...] Il regarde les autres d'un air victorieux. - Messieurs, nous avons visiblement trouvé la sœur de Sorel ! Cette histoire va enfin se terminer ! De l'autre côté de la vitre, on peut voir la flamme de la grosse bougie rouge bouger de plus en plus net. A travers l'interphone, les spectateurs entendent le souffle du vent dans une pièce où il n'y a aucune fenêtre. Les cheveux bruns d'Angeline bougent et se soulèvent sous la force de ce souffle. [...]
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