Résumé de l'Ebook:
[...] Il suit avec succès les classes préparatoires des régis. La maison où il loge est située dans l'île de Tuan Chau, ; une villa au milieu d'une végétation luxuriante. Le Tonkin produit le charbon des usines qui est le produit d'importation principal de la colonie française. Le travail de Nathan s'effectue dans la brigade mobile des douanes, ce qui le mène à avoir des relations suivies avec certains vietnamiens qui ont des chargements pour l'État français. Parmi ces hommes, le père d'une jeune femme dont il est amoureux. [...]
[...] Ils ont faim et soif, mais n'osent pas sortir car ils entendent des gens courir, crier, et des bruits de tirs. Au matin Un incident mineur vient de se produire lors d'un contrôle douanier et déclenche des arrestations de contrebandiers, ce qui donne au haut-commissaire un prétexte pour agir, il ordonne le bombardement des quartiers populaires, faisant ainsi des milliers de victimes civiles L'une des bombes éclate près de la grotte où Thi En Dia et son fils se sont cachés ; les obligeant à s'enfuir de nouveau. [...]
[...] Jeunesse ! Jeunesse ! Où mènes-tu tes petits ? Intrépides vous voyagez traversant les sentiers défendus, Dansant sur vos petites jambes, chantant de vos petites voix : Jeunesse ! Jeunesse ! Où t'en vas-tu comme ça ? Vous avez les ailes légères, le cœur qui bat, Les minutes vous sont lointaines et l'univers au bout de vos doigts, Vous partez rejoindre les frontières du futur, Le chagrin et l'ennui des adultes. [...]
[...] Il pleure, il a peur. Il parle et écrit vietnamien, il est de religion bouddhiste Les années en France passent douloureusement, il apprend le français et le patois du village, c'est avec difficulté qu'il lui faut s'adapter. Très vite il découvre la rudesse et l'austérité de la vie en Corse, l'hiver enneigé et isolé en montagne. La maîtresse de son père le hait et ne manque pas une occasion de lui faire du mal sans que son père n'intervienne jamais. [...]
[...] Vivre le meilleur pour oublier le pire. A chaque douleur, une douceur, à chaque laideur, une beauté. Alors que les filles de mon âge découvraient leur premier amour, moi dans la nature je respirais la vie à pleins poumons et je contemplais la splendeur de la terre. Tout le long des chemins que je traversais en marchant lentement, je m'arrêtais souvent devant une maison ou une autre et je m'imaginais y entrer : il y avait un feu de bois dans la cheminée en hiver, une odeur de chocolat chaud le matin avec une maman qui m'entourait de ses bras. [...]
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