Résumé de l'Ebook:
[...] Cela aurait pu être moi le violent, dans un moment de folie. Mais premièrement ma synthèse est de vous dire : "Tu ne tueras point". J'en ai fait ma loi, ma leçon et c'est aussi la règle de Dieu pour les Hommes. Prenons seulement le temps de mesurer nos actes et nous saurons voir ce mal en nous qui étouffe l'essence de la paix. Deuxièmement, il ne faut pas craindre de perdre. J'ai perdu de ma noblesse par ma folie. [...]
[...] Le bien et le mal se retrouvent en chacun de nous. Certes, j'ai pris leçon de moi et je vous ai fait la leçon mais je dois aussi tirer leçon de vous. J'en conclus que chacun ne pense qu'à lui car tout jugement ne peut être filtré que par sa propre personne, sa propre vie et son expérience. Cela ne saurait être autrement, autant dans la cruauté que dans la compassion ou l'empathie. [...]
[...] Le malade souffre dans sa quête de vérité. Or, nous avons à prendre le flambeau qu'il porte dans son âme. Nous avons à rêver de ses rêves pour bâtir un monde de paix et de vérité Notre social Voilà que ces malades qui nous aiment n'osent nous rendre coupables de quoi que ce soit quand ils en arrivent à vouloir guérir. Ils poussent même le cadeau en s'interrogeant sur eux-mêmes, en remettant en question leur propre monde. C'est toute leur vie qu'ils nous donnent. [...]
[...] L'amour est fou, fou comme le malade. Mais qu'on ne s'y méprenne pas, il y a un fou pour un malade. L'un est normal l'autre pas Nous, les fous Nous, les fous, sommes forts de nos réussites sociales. Nous sommes ivres d'amour-propre comme des alcooliques préférant ignorer leurs problèmes. Et on se donne bonne conscience par le mépris en croyant que les méchants sont les autres, que l'idiot est toujours l'autre. Or le malade nous plonge dans l'incertitude et nous nous rendons compte, grâce à lui, que le mal nous habite. [...]
[...] Eux n'attendent que la confiance qu'ils ont toujours donnée. S'il nous était possible de saisir l'histoire d'une personne, je crois bien que nous ne jugerions point et que nous saurions apprécier et pardonner Conclusion Tout un monde à aimer En vérité, nos mensonges cherchent à préserver notre dignité et ne visent qu'à conserver un peu de bonheur. Si nous mentons, c'est pour nous défendre ou pour protéger quelqu'un d'autre. Malade, excusez nos faiblesses, nos peurs qui font que l'on se perd en mensonge. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture