Résumé de l'Ebook:
[...] Il interdit à quiconque de franchir son fossé. Rémus rit de voir son frère si investi de sa nouvelle fonction et dans un grand rire, il franchit le fossé. Mais Rémus était bien loin de se douter que son frère était déjà atteint du mal odieux qu'est le pouvoir et c'est avec 15 stupéfaction qu'il vit Romulus se mettre dans une colère noire. En effet, celui-ci fou de rage d'avoir été désobéi et ridiculisé devant son peuple se dirigea vers son frère d'un pas menaçant, Rémus pour sa part, continuait de rire : Et alors, Romulus, j'ai franchi tes remparts. [...]
[...] Il retira alors la bague qu'il portait à l'annulaire depuis de longues années, il en souleva la pierre et porta à ses lèvres la substance qui se trouvait sous le bijou. Son agonie fut rapide et spectaculaire. Ainsi donc mourut le grand Hannibal, empoisonné dans sa maison de Bithynie : le suicide lui avait semblé plus doux que la captivité et la honte XLVIII. Du rififi en Macédoine Le consul Paul Emile, mort à la bataille de Cannes avait eu un fils nommé également Paul Emile. Celui-ci embrassa aussi une carrière militaire qui le conduisit en Macédoine pour affronter Persée, le fils de Philippe. [...]
[...] Curius Manius remporta une victoire éclatante sur l'armée épirote et rentra en triomphe à Rome. Son cortège triomphal fut d'autant plus extraordinaire qu'il avait 89 capturé et ramené quatre éléphants qui parcoururent avec lui les rues de la cité. Les femmes et les enfants n'avaient jamais rien vu de tel et fixaient les yeux écarquillés l'énorme masse des pachydermes en admirant le courage et l'intelligence de leur consul qui avait su se rendre maître de Pyrrhus et de ses monstres. [...]
[...] La brave général était bien ennuyé car à Carthage, on ne traitait pas les vaincus comme à Rome : avec les honneurs et des excuses. Au contraire, les vaincus étaient sévèrement punis, ils étaient soit condamnés à diverses peines plus ou moins pénibles soit supprimés. En effet, dans l'esprit punique, un général vaincu était un général négligent ou même traître à la patrie. Cette odieuse ingratitude et les célèbres châtiments carthaginois jetaient les généraux malchanceux dans les affres de la peur et du désespoir. [...]
[...] Ensuite, il jeta son glaive dans la balance, signe d'un combat imminent. A ce moment, Marcus Furius Camillus fit son entrée dans la ville dévastée et ordonna que l'on retire tout l'or des balances, il fit s'aligner son armée et se rua sur les Gaulois qui furent massacrés jusqu'au dernier. Camillus fut alors considéré comme un héros et devint le second père fondateur de Rome qu'il fit reconstruire sans plus tarder XVI. La curieuse destinée de Titus Manlius Torquatus Titus Manlius était un jeune homme qui ne brillait ni par son intelligence ni par son éloquence : en effet, il avait des difficultés à s'exprimer et son esprit n'était pas rapide. [...]
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