Résumé de l'Ebook:
[...] Et pourtant, il était bien question de lui ! Ce semblant de liberté mêlé à ce beaucoup d'appartenance, cet infini de secrets, si joliment enfouis, que l'on ne peut se soustraire au désir de vouloir les découvrir. Oui, lui, qui naquit en un regard, ton regard ! Comme il m'émerveille ! J'ai le sentiment qu'il parvient à voir en moi tout ce que je savais caché, ces différents moi qui traduisent ce qu'en réalité je suis : un homme qui t'aime Oui, c'est en relisant ces lignes inscrites dans ce livre que je réalise être ivre de toi. [...]
[...] Ce dernier qu'il nous faudrait accueillir et chérir comme si nous l'avions toujours connu. Car à partir de cet instant, il ferait partit de nos vies, de nos regards, de nos envies ; étant le seul capable de bercer nos jours, de part ses mélodies, de renforcer l'amour A l'heure où je te parle, profonde et douce inspiration, sache que j'ai approuvé son invitation pour ce voyage. Oui, celle qui, aujourd'hui, est la base de ton évolution et dont tu m'as si joliment prononcé le nom Graine, amour Dois-je me soustraire aux sentiments qui me traversent et qui font couler les larmes telle une averse ? [...]
[...] En cette heure, je t'offre la mienne afin de sceller cette porte menant à mon cœur. Ce lieu silencieux où il plait à ton âme d'en délecter les couleurs. Oui, il est des jours, il est des nuits, il est des silences qui demeurent inoubliables. Et je ne trouve de repos qu'en son sein, lui, silence ; cette mélodie inaudible pour l'homme mais accessible pour le cœur Ton cœur Il me semble que ce fut hier ! Ces instants où, marcher sur les sentiers de ton cœur fragile me faisait peur. [...]
[...] Déprimer ! Une triste sensation d'étouffement, lorsque l'on s'engouffre dans un rêve qui, peu à peu, s'enfuit en ne laissant derrière lui qu'une traînée de peine, pour de moindre résidu d'illusion. S'accrocher à un désir, seul, même si auparavant nous étions deux à le chérir ! Seul face à tous, délaissé aussi par celle que les moindres parcelles de ton cœur aime ; celle qui, malgré son absence, donne la force d'être, de demeuré Tant d'états d'âmes vécu par la mienne, intensément ressenti avec horreur et peur ; oui, peur de ne plus voir en couleur, par faute d'avoir oublié la valeur des choses, des sentiments, d'une personne. [...]
[...] Lorsque je suis pauvre, je me sens riche ; riche d'égards et de regards pour toi. Oui, au seuil de ta perte, je retrouve la main verte envers cette plante que tu es. Et c'est quand tu n'es plus là que je te sens plus proche, et demeure indécis face à des décisions à prendre ; tant d'heures passé à me dépenser face à des pensées. Contraint de m'en aller loin de toi, en ce lieu où ton regard ne peut se poser. [...]
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