Résumé de l'Ebook:
[...] Non, écoute c'est In the mood de Glenn Miller, la fameuse chanson de la libération. Oui, mais c'est la cinquième fois de suite qu'on l'entend. Bah ! Qui s'en plaindra, c'est gratuit, t'inquiètes pas et rassure les copains je vais changer de disque. Le soir au dîner, Cordier vient me remplacer, il est maintenant presque remis de son passage dans le tonneau des sangsues. Il me fait part de son contentement d'être bientôt rapatrié. Je lui donne les consignes pour les disques. [...]
[...] Elle ouvre un dossier sur la couverture duquel sont inscrits des caractères chinois. Normalement c'est mon père qui traite avec les nouveaux clients, mais il est en Australie, j'ai carte blanche. Il veut que je prenne une succursale à Sydney ou Melbourne, ce qui me plairait assez, ayant vécu quinze ans au Canada, je supporte assez mal Cholon, c'est trop chinois. Pourtant vous êtes Chinoise et mariée à un Chinois. Oh ! Mariée, c'est un mariage arrangé par mon père qui est à moitié chinois, sa mère étant bretonne. [...]
[...] Monsieur Henri Marchal conservateur a fait beaucoup pour Angkor. Ty-pol s'arrête à la villa pour déposer Sylvette à qui je souhaite une bonne nuit, je lui dis : A demain ma chérie, peut-être pourrais-je voir mon Apsara ? Je ne crois pas, père a prévu que nous fassions un grand circuit avec maman, Ty-Pol t'expliquera. Pendant qu'on roule vers l'hôtel Ty-Pol me détaille le programme du lendemain, départ à huit heures, visite de Pré Rup, Mébon, Ta Som, Néak Péan et Pra Khom. [...]
[...] Comme on dit, il vaut mieux que faire pitié, j'ai pensé aux fleurs, elle va chercher un bouquet de lotus roses et de fleurs bleues. J'ai une bouteille de champagne que j'ai pu dénicher à la Roussillonnaise. C'est Kim qui nous ouvre la porte, je présente Sylvette, je vois à son regard émerveillé qu'elle fait bonne impression. Une grande fille blonde (une tête de plus que Kim) s'approche, Kim la présente : voici Anouch, mon petit lieutenant. Il faut toujours qu'il ajoute un adjectif pour accentuer notre différence de taille, ne faîtes pas attention, oh merci ! Pour ces belles fleurs. [...]
[...] Ces temples et surtout Angkor Vat sont le symbole d'une foi religieuse. Le Cambodgien centre sa vie sur la pagode, où il fait un stage dans son jeune âge, la religion nationale est le bouddhisme du petit 159 véhicule ou Hœmayâna, de langue Pâli, pratiquée également à Ceylan, en Birmanie, en Thaïlande et au Laos. Des guerriers porteurs de torches de résine s'alignent de chaque coté de l'esplanade, un roulement de gongs annonce la venue des danseuses qui vont figurer les scènes du Râmâyana, la grande épopée hindoue gravée dans les pierres d'Angkor. [...]
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