Résumé de l'Ebook:
[...] Une bouteille de gin l'a aidée à s'exécuter et, naturellement, les Strasberg, Paula et Lee. Celui-ci prononce l'oraison funèbre : Pour nous, qui sommes aujourd'hui rassemblés, Marilyn était un être vivant, hardi et timide à la fois, sensible, craignant toujours d'être rejeté, mais également avide de vivre, sans cesse préoccupé de s'accomplir. Il termina son allocution par non pas un adieu mais un au revoir : Je ne lui dirai pas adieu, Marilyn détestait les adieux, mais, comme elle qui savait retourner les choses pour 285 qu'elles concordent avec la réalité, je lui dirai au revoir Car, nous aussi, nous rejoindrons, un jour, le pays pour lequel elle nous a quittés Pour son dernier voyage, Marilyn Monroe est habillée d'une robe verte de chez Pucci (sa préférée) et d'une écharpe de mousseline assortie. [...]
[...] Parlons en : 129 Le elle est hospitalisée au Cedars of Lebanon Hospital sur Beverly Boulevard de Los Angeles pour une métrite. Le Lucille Ball, la femme-clown de la T.V. fait une imitation de notre héroïne dans sa série sur C.B.S. I love Lucy (épisode Ricky's Movie Offer La première d'une (longue) succession de caricatures sur Miss Monroe. Une tradition depuis. L'envers de la médaille. Le 12, sans prescription, Marilyn Monroe est assaillie par des centaines de journalistes ; elle quitte l'hôpital par une porte dérobée. [...]
[...] Le 1er avril, au 10ème référendum annuel de popularité, orchestré par Ciné-Revue, Marilyn rétrograde d'une place. Elle se positionne au 8ème rang. Les lauréates sont : Martine Carol et Michèle Morgan ex æquo. Suivent Gina Lollobrigida, Françoise Arnoul, Edwige Feuillère, Audrey Hepburn (1ère actrice U.S. et récente triomphatrice du Globe d'Or de l'actrice la plus populaire du monde Ava Gardner, Marilyn Monroe, Danielle Darrieux et Ingrid Bergman qui ferme la marche de ce Top 10 (à l'instar de Rita Hayworth, l'an passé). [...]
[...] Tout cela ne paraît ni authentique ni convaincant. Aussi pour obtenir notre attention, on a monté l'affaire comme une énigme. Marilyn tuera-t-elle (ou non) une petite fille de six sept ans dont elle a la garde une soirée ? La 90 réponse à la devinette reçue, on se sauve sans plus y songer. (L'Express du 21 juin 1953) Hélas Marilyn Monroe (Nell) n'arrive pas à nous attendrir sur son personnage. (José Zendel Les Lettres Françaises du 18 juin 1953) Néanmoins Marilyn Monroe peut, dans ce film, déployer les dons percutants que lui a généreusement attribués la nature. [...]
[...] Pour être plus précis, le 17 juillet 1946, elle franchit les murs sacrés du studio (créé en 1915), appelé communément la Fox (puisque fondé par William Fox), où seuls peuvent pénétrer le grand patron Darryl F. Zanuck, les employés (toutes stars qu'ils sont et les invités. Dans ce sanctuaire, elle se retrouve face à Ben Lyon, chargé du recrutement pour le studio. Il lui donne sa première chance dans ces lieux saints. Lyon fut très gentil. Il me dit qu'il me trouvait si fraîche, si jeune, etc. Il dit même : “Vous êtes la première que je découvre depuis Jean Harlow”. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture